J’évoquerai ici les blessures du mental dans le cerveau, la place prépondérante des émotions et des états d’âme, les divers ressentis durant la contemplation, et une validation des effets d’Irisame par biofeedback (appareil utilisé pour valider les effets de l’acupuncture).
Les blessures du mental dans le cerveau.
Comment agit Irisame ? Cette pratique consiste à utiliser, de façon régulière ou ponctuelle, une photo choisie pour soi par rapport à une problématique rencontrée. La contemplation de cette photo permet de prendre conscience et de libérer nos pensées et nos émotions dites négatives, mémorisées en nous parfois depuis longtemps, voire depuis notre naissance ou même notre vie intra-utérine. Ces pensées et émotions sont responsables d’attitudes inadaptées et inutiles, dont le corps et l’esprit veulent se libérer. Car non seulement notre corps conserve en lui les souffrances émotionnelles sous forme de tensions diverses, mais notre cerveau également. Comme le disait le Dr David Servan-Schreiber dans son ouvrage (Notre corps aime la vérité) : « Les blessures du mental sont enregistrées dans notre cerveau comme des blessures du corps. »
J’ai pu faire le même constat grâce aux remarques de nombreux utilisateurs qui observaient l’apparition de sensations dans leur tête durant leur contemplation. Certains parlaient de sensations de massage ou d’effervescence, d’autres de pétillements, et certains entendaient même parfois des bruits. Voici, par exemple, le témoignage d’une participante à un atelier qui avait demandé une photo « pour l’acceptation de qui je suis ». Il semble bien que cette blessure du mental, enregistrée dans le cerveau, ait été modifiée grâce à la contemplation de sa photo.
Ce témoignage mentionne plusieurs éléments importants : le sentiment d’être rassurée, le sommeil irrésistible, le changement d’état de conscience, l’émotion positive de la joie. Aucune douleur n’a été ressentie. Ces prises de conscience des circuits neuronaux et la sensation d’être toute neuve m’ont surprise. Bien sûr ces ressentis sont subjectifs et n’ont aucune valeur scientifique, mais ils sont importants pour la personne.
Irisame est une pratique introspective et silencieuse qui peut sembler austère au premier abord, mais elle donne accès à des aventures intérieures extraordinaires. Notre monde intérieur est un royaume fabuleux à découvrir. Nous seuls pouvons en ouvrir la porte et faire la paix avec notre passé. Les pratiquants réguliers observent en eux une évolution douce, profonde et durable.
La place prépondérante des émotions et des états d’âme
Impossible aujourd’hui de passer sous silence la PNIE (psycho-neuro-endocrino-immunologie). Cette science nouvelle étudie les liens entre les facteurs familiaux et sociaux, et les maladies. Éviter les ressassements, la tristesse et tout ce cortège d’émotions toxiques permet d’empêcher les lents et inéluctables empoisonnements et affaiblissements qu’elles induisent. Gérer son stress par la méditation, le yoga, les pensées positives ou d’autres pratiques est bénéfique et renforce le système immunitaire.
Durant la conférence je raconterai un témoignage que j’ai intitulé « Les souris grises ». Vous pouvez le retrouver dans mon livre « Être en paix avec son passé« .
Les divers ressentis durant la contemplation
Pendant la contemplation d’une photo Irisame, des sensations douloureuses peuvent se manifester : elles proviennent de la libération de blocages énergétiques. Les émotions, les pensées négatives sont des énergies. Ces chocs et stress du passé se sont cristallisés, enregistrés dans le corps et le cerveau. Ces douleurs sont momentanées et semblent parcourir un trajet très précis.
La photo permet de suivre ces circuits de blocage émotionnel-énergétique : en posant la photo sur le point douloureux, la douleur disparaît pour réapparaître plus loin, et ainsi de suite jusqu’à ce que le circuit soit achevé. Cela peut durer jusqu’à une heure entière, donc il est préférable de s’allonger. C’est sans doute l’intelligence innée du corps qui agit et l’esprit qui est le chef d’orchestre de toute l’opération. Notre mental ne sert à rien ici, il observe et laisse faire.
Puis, quand le circuit a été parcouru jusqu’à son terme, les émotions positives apparaissent. Mais une douleur semblable pourra réapparaître à l’occasion d’un autre nettoyage émotionnel. Peut-être est-ce en raison d’une sensibilité ou d’une fragilité particulière de la zone.
La fatigue due aux moyens de transports. (Expérience personnelle)
J’aimerais également mentionner les effets bénéfiques d’Irisame sur la fatigue.
- la fatigue physique,
- la fatigue nerveuse-émotionnelle, et
- celle qui est purement vibratoire.
Mon expérience concerne cette dernière. En effet, le métro et les transports (train, voiture, avion) sont pour moi sources de fatigues subtiles incompréhensibles.
Un déséquilibre vibratoire s’installe en moi. La sècheresse de l’air environnant, le bruit et les odeurs sont-ils la cause de ces tensions ? J’en doute. Par contre les champs électriques et magnétiques générés par les machines pourraient me perturber, c’est une hypothèse.
Pour y pallier, durant les trajets en métro par exemple, je regarde sur mon téléphone un dossier composé de photos sélectionnées à cet effet. Les effets de cette contemplation expresse entraînent une humidification des yeux et du nez et des bâillements incessants. Ces manifestations éliminent les tensions invisibles. J’arrive à destination détendue et allégée.
La recréation de la réalité
À plusieurs reprises des participants ont mentionné un élément surprenant. Un détail apparaissait subitement dans la photo, ou changeait de couleur. Chose plus étonnante, ce détail, au bout d’un certain temps, semblait se transformer. Plusieurs transformations pouvaient se produire durant la contemplation. Ces modifications de l’image avaient certainement une raison d’être, mais laquelle ? Pourquoi l’œil – donc le cerveau – recréait-il une autre réalité ?
Une validation des effets d’Irisame
J’ai cherché à trouver une validation objective du processus Irisame, même si pour moi, la meilleure validation reste celle des ressentis des utilisateurs et leurs témoignages. J’ai mesuré les points TING de l’acupuncture avec le testeur énergétique Biofeedback ACMOS. Cet appareil mesure le potentiel énergétique des circuits du corps et identifie les blocages énergétiques.
Cette mesure est effectuée sur chacun des dix doigts et des orteils, appelés points Ting. Pour les clients qui le souhaitaient, je prenais une première mesure avant la contemplation de la photo, puis une seconde mesure à l’issue de la contemplation soit environ une heure après.
Avec la seconde mesure des modifications énergétiques évidentes se sont révélées sur certains circuits (méridiens). Les méridiens en insuffisance d’énergie voyaient leur mesure augmenter et ceux en excès s’étaient normalisés. Cela ne m’a pas étonnée. En effet la Médecine Traditionnelle Chinoise a toujours fait le lien entre l’excès d’émotions et la fragilisation de la santé. Par conséquent la contemplation de la photo Irisame produit des effets énergétiques mesurables, et elle fait du bien …
En conclusion
La photo Irisame permet de répondre à des demandes de toutes sortes, même atypiques comme revivre sa naissance, ou savoir si, bébé, on a vécu un traumatisme.
C’est un outil qui met en lumière et dit la vérité sur ce que l’on ignore, sur ce qui a été caché, ou sur ce qui a été refoulé. J’aimerais conclure en vous disant que la photo Irisame est un outil subtil de transformation, qui s’adapte à chaque personne en lui apportant exactement ce dont elle a besoin.
La photo Irisame est une pratique simple qui peut aider tout un chacun à vider lui-même sa poubelle émotionnelle. Alors pourquoi ne pas essayer ?
Être en paix avec son passé, grâce aux photos Irisame
de Catherine Mayet – éditions Books on Demand
La photo Irisame, découverte en 2006 par l’auteure : Catherine Mayet, est une clé d’accès vers des dimensions inexplorées de soi-même. Comment et pourquoi la contemplation silencieuse d’une photo, apparemment anodine, entraîne-t-elle toutes sortes de sensations physiques et psychiques, comme des émotions, des douleurs, des prises de conscience… ?
Et qu’est-ce que cela apporte à la personne qui consulte ?
Cinquante-deux témoignages regroupés en douze chapitres permettent au lecteur de découvrir ces aventures surprenantes. Des explications énergétiques, psychologiques ou scientifiques sont proposées. Elles révèlent l’importance de la mémoire du corps, de la conscience et de l’inconscient, qui, lors de la contemplation de la photo, communiquent entre eux et interagissent pour restaurer l’équilibre énergétique, émotionnel et mental.
Avec Irisame, il devient possible de faire la paix avec son passé, de rétablir l’unité et la vérité au cœur de l’Être pour se projeter dans l’avenir avec un regard neuf.