Se libérer du poids de l’inconscient collectif

sur notre état émotionnel, avec la Philosophie du Reiki
En tant que membres de cette grande famille qu’est l’Humanité, nous sommes tous d’une façon plus ou moins consciente, touchés par les angoisses existentielles, inhérentes à notre condition humaine.

La Philosophie du Reiki

Abordées sous l’angle de vue de la Philosophie du Reiki, nous pouvons les regarder sous un nouveau jour, grandement allégées, voire comme des alliées, une fois transcendées.

Se libérer du poids de l’inconscient collectif sur notre état émotionnel

Ces angoisses sont les suivantes :

  • la Solitude,
  • la Responsabilité,
  • l’Imperfection,
  • la Quête de sens face à l’apparente absurdité de la vie,
  • et la Finitude ou encore angoisse de Mort

En l’état actuel de la Conscience collective, elles alourdissent l’Energie vitale des êtres vivants et forment une espèce de halo parasitant, nous empêchant de donner le meilleur de nous-mêmes.

Avec l’ère du verseau, l‘heure du changement de perspective est arrivé : il est grand temps que nous offrions à nos jeunes une vision du monde beaucoup plus lumineuse, et beaucoup plus consciente sur le sens de la vie, propice à l’accès à d’autres vibrations de Sérénité et d’Harmonie intérieure pour l’être humain, face à ces themes existentiels majeurs.

La Solitude

L’être humain est potentiellement seul face à sa vie, face à ses souffrances, et face à ces grands thèmes existentiels, qui viennent le chahuter.

Un des moyens de vivre sa condition humaine autrement pour l’être humain est d’apprendre à se relier à son intériorité, en prenant soin de la partie sensible en soi : de se rassembler dans son espace intérieur  en conscience de ses ressentis et de la globalité  de sa structure.

Centrage dans sa saine solitude

C’est ce que l’initiation au Reiki et les auto-séances de canalisation nous proposent de vivre, en se familiarisant de plus en plus avec cet état d’être : en capacité de se ressourcer soi-même potentiellement à tout moment, se libérant ainsi progressivement de la dépendance à ce que l’environnement peut nous apporter.

Quand nous avons goûté à cet espace sacré en Conscience, dans l’intention de prendre soin de notre bien-être et de nos besoins, ce n’est plus la solitude intra-personnelle qui nous submerge, mais bien cette sensation de Paix et d’Harmonie qui s’installe petit à petit.
Cet état n’est accessible que quand on se place dans la bienveillance et la générosité avec soi-même.

« La bonne solitude, dit Jacqueline Kelen, auteure française, productrice de France Culture, n’est possible que si l’on a contacté son « noyau d’être », ce qui est indestructible, souverain, inattaquable en soi ».

Michel Quoist, écrivain spirituel, de son côté, voit dans le fait de s’arrêter, un réel bénéfice pour l’individu : « Si tu veux faire œuvre profonde, mets-toi régulièrement en retrait de l’agitation du monde, arrête-toi et médite ; prends l’habitude de te retirer, afin de fréquenter ces deux très grands maîtres : le Silence et la Solitude ; alors, ton esprit sera tout à fait clair, ton corps pacifié et ton action, régénérée, sera d’une étonnante efficacité ».

La méditation abordée sous une autre forme : en appui sur les sensations intérieures perçues en auto-séances de Reiki, peut nous y aider grandement.
Ici, point d’individualisme forcené. Juste une rencontre avec son espace de Centrage intérieur, qui permet ensuite de se relier à l’Autre plus naturellement.

La reliance par la Philosophie du Reiki

Au-delà de la haie

Au-delà de la Solitude intra-personnelle, nous pouvons également en tant qu’être humain, être confronté à une sensation de solitude extrême par rapport aux autres, en groupe ; ce sont par exemple,  les moments où nous pouvons nous sentir différents, tellement différents que nous nous coupons de cette sensation d’appartenance au groupe.

Nous avons le choix de notre vision du monde : la Philosophie du Reiki nous propose un moyen de nous sentir reliés les uns aux autres dans le Coeur, unis dans un même élan : celui de la Fraternité, investis dans un mouvement écologique  pour l’humanité, dans lequel chacun fait partie d’un tout, la Source de toute Création.

Nous sommes libres d’impulser un mouvement qui nous relie aux Autres dans nos choix de vie, ou au contraire de mettre en place des protections qui nous divisent les uns les autres. Cela nous amène tout naturellement à la question du Choix de ce que nous mettons en place dans notre Vie.

La Responsabilité

L’approche spirituelle du Reiki est fondée sur le principe que la nature de l’Homme est une nature divine, au sens spirituel du terme et non religieux, et que l’Homme n’a pour seules limites, que celles qu’il se donne : cette Philosophie prône son Libre Arbitre, et sa Liberté d’Etre et de choisir.

Louis Evely écrivain chrétien écrit à ce sujet ces quelques lignes :
« Des forces secrètes nous animent, dans un dynamisme indicible, dont nous n’avons nulle maîtrise. D’où viennent ces forces  et où nous mènent-elles ? Mystère ! Beau, déroutant et singulier mystère ! Ayons cette audace de nous sentir dépassés et d’autant plus forts que nous sommes vulnérables à ces mystères venus de l’infini et qui nous ouvrent à une dimension d’éternité. »

Se placer dans sa saine responsabilité

Dans la pratique du Reiki, nous pouvons nous sentir dépassés, transcendés par la force de l’énergie vitale qui nous traverse ; les sensations vécues sont proches de ce que décrit Louis Evely avec des mots forcément limités pour décrire un tel phénomène. Comment trouver un langage suffisamment éloquent pour retranscrire une réalité qui relève bien souvent de l’indicible ?
S’autoriser à croire à la réalité de cette énergie de guérison peut relever du rêve ou de la fiction aux yeux de certains : cette énergie stimule l’être divin en nous, relié à notre Essence profonde, prête à accueillir la Magie de la vie, là où l’âme agit…

« Cette liberté du rêve, l’homme doit avoir l’exigence et le talent de la transformer en actes et en vérité. Ayons l’audace de rêver, d’inventer notre destinée au lieu de nous soumettre à la prétendue force des choses : c’est peut-être cela être libre » nous dit François Garagnon dans son livre Les pensées revigorantes.

Les effets d’une séance énergétique peuvent être inexistants si la personne bénéficiaire ne s’autorise pas à croire à cette réalité et ils peuvent être tout simplement incroyables si tous les paramètres sont réunis pour que les bénéfices adviennent.

J’ai l’intime conviction que, comme la Pratique du Reiki nous le prouve au fur et à mesure, nous sommes libres de repousser nos limites toujours plus loin, et nous pouvons à tout moment, inventer une vie qui nous convient, en amenant les contraintes extérieures à s’ajuster au fur et à mesure.
Cela suppose bien sûr de développer une conviction profonde, plus forte que la puissance parasitante de l’inconscient collectif, ce qui n’est pas rien.
J’en fais personnellement l’expérience depuis un bon moment maintenant, ayant en particulier réussi à dépasser une Polyarthrite douloureuse et invalidante avec succès.

Sartre a écrit les lignes suivantes, prônant la prise en mains de son destin :  « L’important n’est pas ce qu’on a fait de moi, l’important, c’est ce que je fais, de ce qu’on a fait de moi. »

J’adhère à cette Philosophie de vie, qui nous amène face à notre propre Responsabilité de transformer nos souffrances en ressources potentiellement puissantes, dans le cas de la maladie, en particulier : à chaque fois que nous nous sentons impuissant face à une situation apparemment bloquée, nous pouvons procéder de même.
Le Reiki m’a largement aidée dans ce sens, à me prendre en mains, au lieu de rester dépendante de la chimie « rouleau-compresseur » que le corps médical m’incitait à ingérer avec les médicaments,  inlassablement.

Les messages du corps humain

Pour avancer dans ce sens, nous ne pouvons faire l’économie du fait de rester attentifs aux messages de notre corps :
Notre corps parle à travers la maladie, il exprime nos failles et nos imperfections, même s’il existe des facteurs extérieurs à tout celà, qui ne se présentent pas par hasard selon mon angle de vue.
« La responsabilité implique les épousailles avec soi-même » nous dit Annick de Souzenelle, dans son livre  Le symbolisme du corps humain.

Pour accéder à cette proximité avec soi, encore faut-il bien souvent être accompagné d’une façon soutenante et avoir suffisamment de force, pour ne pas s’écrouler.

C’est cette phase qui a été la plus difficile à traverser pour moi, car cela m’amenait dans les angoisses majeures de Responsabilité et d’Imperfection, associées à la culpabilité et la dévalorisation de moi.

Un pour tous, tous pour un

La posture optimale que j’ai identifiée, aussi inaccessible à mettre en place soit-elle à certains moments, réside dans l’engagement à prendre les choses en mains avec suffisamment de lucidité pour accueillir ce qui s’impose d’abord, puis apporter les changements nécessaires ; en se donnant le temps d’accéder à cette posture, au juste rythme.

Le Reiki est un moyen étonnant pour se ressourcer en se prenant personnellement en mains et pour favoriser les prises de conscience les plus appropriées dans le moment présent, harmonisant ainsi sa relation à Soi et à l’Autre.

C’est aussi un moyen pour nous aider à prendre la Responsabilité de soi au niveau global : physique, émotionnel, mental et spirituel.

« Donnez-moi le courage de changer ce que je dois changer, la sérénité d’accepter ce que je ne peux changer et la sagesse de distinguer l’un de l’autre » implorait Marc Aurèle, en s’adressant aux Dieux, pour reprendre une phrase que j’affectionne particulièrement.

Nous sommes humains et par définition faillibles, parfaitement imparfaits…

L’Imperfection

J’ai longtemps été confrontée à mon propre processus d’auto-jugement, me positionnant pendant toute une période, constamment à l’extérieur de moi-même traquant les défaillances et imperfections de mon être : me conformant aux jugements incessants de mon environnement que j’avais fini par introjecter, je me dévalorisais au quotidien.

La philosophie du Reiki nous enseigne que tout ce qui arrive est juste  ou plutôt a sa raison d’être, en accord avec les différentes forces en présence dans un environnement donné.

La responsabilité de ce qui advient est alors répartie sur un ensemble de forces en co-création : cette conscience peut atténuer notre sensation d’imperfection et la culpabilité associée, quand un imprévu arrive, l’attribuant à la situation globale dans son contexte.

Lever de soleil trouant la roche

Par ailleurs, la Philosophie du Reiki nous invite à considérer le fait que, si nous avons émis des intentions et apporté de la conscience à une situation, ce qui se met en place est bien souvent ce que nous pouvions faire de mieux, selon les limites du moment.

En infusant dans un bain d’énergie vitalisante, nous en arrivons à ajuster notre regard, arrêtant d’étiqueter les situations et les personnes. Rien n’est alors ni Bien, ni Mal , tout est la résultante d’un certain nombre de paramètres et de forces en présence, avec ses points forts et ses points faibles.

Le Reiki nous invite à regarder l’imperfection autrement, avec un filtre positif et bienveillant, à voir ce que la vie nous donne, plutôt que ce qu’elle ne nous a pas donné : la bouteille à moitié pleine, plutôt qu’à moitié vide.

Enfin, le Reiki nous invite à agir, penser et vivre avec notre Cœur, en nous libérant de l’emprise des regards extérieurs et des peurs de notre mental ; alors que ces derniers nous inciteraient  à agir selon des critères extérieurs à nous-mêmes, à faire des choix qui ne nous ressemblent pas.

Imperfection par rapport à qui et à quoi ?

Faisons-nous nos propres choix en fonction de nos propres critères, ou en fonction de ceux des autres ?

L’idée est d’avoir une bonne qualité de présence à Soi, en conscience de ressentir ce qui est juste et bon pour Soi – ce qui me fait oui, ou ce qui me fait non, comme disent les canadiens – en tenant compte de l’environnement, bien sûr.

Nous sommes alors potentiellement plus à même d’être dans une relation simple et directe avec l’Autre quel qu’il soit.

« Personne n’est sujet à plus de fautes que ceux qui n’agissent que par réflexion » disait Vauvenargues, écrivain philosophe du XVIIIè. On peut assurément agir hors de toute intentionnalité, poursuit-il. Et les actions qui naissent de telles prédispositions sont souvent de belles actions qui nous conduisent beaucoup plus loin que les actes trop savamment calibrés par notre esprit. »

Nos sociétés occidentales ne favorisent pas ce type d’approche. Car oser sa singularité légitime, savoir se distinguer en affichant tout simplement sa propre personnalité, voilà qui est plus rare que l’on ne croit, dans une société qui tend à tout uniformiser, y compris les désirs et les codes de comportement.  Énonce Proudhon, sociologue du XIXè.

Et si le sens de la vie avait quelque chose à voir avec tout cela ? Contacter cette liberté inespérée d’être Soi et la déployer en Conscience avec le plus de Bienveillance et de spontanéité possible ?

Quête de sens

Où vais-je, d’où viens-je ? A quoi bon, cette succession d’actions et de situations si je ne suis pas en capacité d’y mettre de la Conscience et du Sens ?

Éclairer le cœur égaré

Cette quête de sens peut s’avérer insoluble, si l’on se cantonne à la sphère matérielle et terrestre ; tout peut nous paraître absurde, dénué de sens.

Car « Même lorsque nous prétendons maîtriser notre vie, nous sentons bien que quelque chose nous échappe, se joue de nous, tout en se jouant en nous, et ne peut dépendre de notre seule volonté, aussi tenace soit-elle », énonçait Albert Schweitzer, qui fut théologien, musicien, philosophe et médecin simultanément.
« La seule possibilité de donner un sens à son existence, c’est d’élever sa relation naturelle avec le monde à la hauteur d’une relation spirituelle » poursuit-il.

C’est cette double approche terrestre et céleste, que nous propose le Reiki et ses enseignements : avoir les pieds sur terre et la tête dans les étoiles, favorisant la Conscience que tout est relié à quelque chose de plus grand, à l’univers tout entier.

« Et si le hasard était la forme que prend Dieu pour passer incognito. », comme nous le suggère Jean Cocteau ?

A mon sens, il y a un grand horloger présent en tout être vivant et perceptible partout dans la nature, bien different du Dieu moralisateur que les religions veulent imposer à l’être humain.

« L’intérieur et l’extérieur des choses font partie d’une même réalité, comme l’écorce et la pulpe d’un même fruit, qui nous amènent jusqu’au noyau…
…Nous ne pouvons appréhender l’intérieur et l’extérieur des choses, qu’en accédant à d’autres domaines, symboliques, tout en restant dans notre univers familier. » affirme Annick de Souzenelle.
« Il est temps d’œuvrer avec une nouvelle Conscience, en reprenant nos clés de compréhension et d’apprendre à ouvrir de nouvelles portes. » poursuit-elle.

Selon elle, L’Homme est le point de rencontre de l’Univers et des Dieux. Il est le point de départ de toutes les vibrations, foyer de réflexion de toutes les résonances…
La vie, loin de se réduire à la fastidieuse répétition du quotidien, se définit comme l’expérience du noyau, c’est-à-dire de notre essence profonde et divine.
Ce n’est qu’au fond du gouffre, à la limite de l’absurde, au Cœur du désespoir, dans cette matrice obscure, que l’Homme peut découvrir ce noyau qui germera et bientôt sera sa dimension divine. 

C’est cette vision élargie du monde que nous pouvons proposer à nos jeunes ; elle est essentielle à qui veut élever son âme en donnant un veritable sens à sa vie.
Nous sommes libres de donner un sens à notre vie, de choisir d’embrasser notre liberté intérieure et de la déployer pleinement, en lien avec notre environnement : mettre au monde notre plus belle création, la Vie qui nous ressemble vraiment.

Se mettre complètement au monde avant de disparaître, pour reprendre l’expression de Michel de M. Uzan. Se donner le temps de se déployer, au service de la collectivité et du vivant, avant de nous en retourner à la Source… Ce qui nous amène naturellement à la question de la mort et de l’angoisse associée.

La Finitude

Gérer l’inconfort dans le constat d’imperfection

La pratique du Reiki peut nous laisser supposer que l’âme ne disparait pas après la mort physique. L’angoisse du néant n’a alors plus la même couleur. Ce qui n’exclut pas l’éventualité de vivre des moments d’angoisse par rapport à la mort ou la fin d’un cycle. Cela peut néanmoins faire évoluer notre état d’être en profondeur.

« Vieillir, mûrir, c’est s’ouvrir au temps de l’âme. Quand le corps est moins vigoureux, quand il répond moins à nos désirs, il ne reste pas rien. Il reste l’âme. L’âme c’est ce qui vit en nous et à l’intérieur de chaque chose. On découvre l’âme quand on s’arrête et que l’on écoute. Alors, dans l’immobile et le silence, on entend monter la musique de la vie. » écrit Marie de Hennezel.

Si l’on envisage la mort comme faisant partie d’un cycle de Vie-Mort-Vie naturel, comme le propose l’approche bouddhiste, elle s’inscrit dans un ensemble cohérent, prévisible.

Mikao Usui, le père fondateur de la Philosophie du Reiki était proche de la philosophie bouddhiste qui enseigne qu’en fin de vie, la mort, puis la renaissance adviennent, dans des cycles successifs ininterrompus jusqu’à l’éveil.

La relation à la mort est alors potentiellement plus sereine. Car si la mort est vue comme une transition, permettant l’accès à d’autres possibles, elle n’est pas une fin mais seulement un passage.
Par ailleurs, la dernière partie de la vie est celle du Lâcher Prise, un thème central pour qui pratique le Reiki.

Certaines personnes âgées sont tournées vers les autres, dans l’acceptation du cours des choses et font encore preuve de curiosité et d’émerveillement envers leurs proches.
Ces dernières sont dans une qualité d’être qui rayonne, qui laisse présager d’une vie évidemment plus épanouie que celles des êtres aigris ; elles offrent une autre énergie à leur entourage et alimentent autrement l’inconscient collectif.

Plus nous serons de personnes à vieillir en conscience avec du recul sur la vie, plus notre Humanité sera en capacité de transmettre d’autres repères aux jeunes concernant le Sens de la vie et la mort.

Ce Lâcher prise ne consiste pas à tout lâcher, mais juste à cesser de ramer à contre-courant sur un cours d’eau, dont le courant nous entraîne inexorablement vers l’avancement en âge et la fin d’un cycle.

Pour cela, nous pouvons identifier nos peurs, pour mieux les apprivoiser, puis nous en libérer progressivement ; en Conscience que la vie nous apporte ce dont nous avons besoin, au fur et à mesure, quand nous lui faisons Confiance, en Harmonie avec l’Univers ; et en Conscience que si nous vivons en conscience, nous pouvons disposer du temps nécessaire pour réaliser notre mission de vie au mieux, dans notre vie actuelle.

Vivons en Conscience et devenons de plus en plus qui nous sommes, en nous libérant progressivement de ces angoisses-fardeaux qui ont pesé un poids sur-dimensionné, sur l’être humain depuis trop longtemps !

L’Humanité ne pourra qu’en soupirer d’aise : cela laissera le champ libre à toutes les bonnes volontés pour réinventer de nouveaux modèles de sociétés, beaucoup plus propices à l’équité et l’Harmonie du vivant.

Isabelle Laroche
Thérapeute, Maître enseignante en Reiki - Coaching psycho-énergétique - Maule (Yvelines) France
Tél.: 06 23 82 22 82

Pour aller plus loin

Les pensées revigorantes
de François Garagnon – Éditions Monte-Cristo

Des pensées vivifiantes pour chaque jour de l’année. Véritable concentré de pensées survitaminées pour affronter sereinement les difficultés de la vie quotidienne. Cet ouvrage est à la fois un livre de réflexion et un rituel méditatif. 365 pensées revigorantes par François Garagnon, l’auteur du best-seller Jade. Chaque jour de l’année, une citation d’auteur assortie d’une réflexion tonifiante sous forme de conseil d’ami. Au carrefour de la psychologie, de la sagesse, du développement personnel, de la philosophie et de la spiritualité, ces pensées à la fois brèves et d’une grande densité, constituent une source d’inspiration inépuisable pour tout être en quête de sens, d’équilibre et de plénitude. Salutaire pour la morale et bon pour le moral ! Un cadeau vivifiant et bénéfique qui trouve son utilité et son attrait chaque jour de l’année. Une table thématique, particulièrement fournie, permet au lecteur de trouver écho à son intérêt ou à ses préoccupations du moment.

Le symbolisme du corps humain
de Annick de Souzenelle – Éditions Albin Michel

Le corps a un langage par lequel il exprime sa jouissance et ses souffrances, mais il est aussi lui-même un langage en soi, un «livre de chair». Apprendre à lire le corps, c’est être attentif à son dessin, savoir décrypter les formes du labyrinthe anatomique ; c’est aussi entendre ce que nous disent les grands mythes de l’humanité sur la nature et la fonction subtile de chacun des organes ; c’est enfin, nous dit Annick de Souzenelle, redécouvrir l’Arbre des kabbalistes, car si l’homme est « créé à l’image de Dieu », l’image de son corps doit être lue comme le reflet terrestre de cet «Arbre de Vie » dont nous parle la tradition de la Kabbale.

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