Les aliments sont-ils importants ?

Selon les dernières recherches, lea aliments sont très importants. Je viens de lire, ce matin encore, que les proportions de la nourriture que nous mangeons peuvent déclencher une réponse inflammatoire de certains gènes. Manger trop d’hydrates de carbone par rapport aux matières grasses et aux protéines et nous voilà courbaturés.

Aliments et gènes meurtriers

J’avais appris, il y a quelques années, que la nourriture sucrée déclenchait ce que le Dr Gundry appelle les gènes meurtriers (killer genes). Ce sont des gènes qui, après un certain âge, provoquent une réaction qui va nous conduire vers la mort le plus rapidement possible, soit par le diabète, le cancer, une crise cardiaque ou autre maladie catastrophique ou dégénérative. Ces gènes n’ont pas de préférence. Leur rôle, c’est de faire de la place pour la nouvelle génération, d’une manière ou d’une autre, selon nos faiblesses génétiques.

Heureusement, on peut truquer ces gènes par la nourriture que nous mangeons, et leur faire croire que nous sommes encore jeunes et plein de vitalité, pas près de laisser la place à nos cadets.

A la recherche de la santé

Ma propre expérience m’a montré à quel point notre alimentation est importante. J’avais été diagnostiquée d’un cancer de la peau à l’âge de 15 ans et devais subir des interventions chirurgicales tous les six mois. Grâce aux études de psychologie que je suivais et aux collègues que j’ai rencontrés, j’ai appris qu’il y avait peut-être un autre moyen de me guérir. Je me suis intéressée à la nutrition et j’ai fait des expérimentations alimentaires. Tout d’abord, le crudisme ou crudivorisme.

La première conférence que j’ai suivie ne m’a guère enchantée. Il y avait une magnifique table couverte de fruits et légumes devant la salle de conférences. Quelques crabes se reposaient sur les aliments. Nous avons appris que si nous voulions faire du crudisme, il était important de manger des protéines, même crues. À la fin du séminaire, nous avons été invités à prendre part au festin préparé pour nous… mais voilà, les crabes s’étaient réveillés et grimpaient sur fruits et légumes. On nous a conseillé d’en attraper un, de lui arracher la pince et de déguster. Non merci, pas pour moi. Je me suis lancée dans l’étude de la macrobiotique, un régime végétalien où, à l’inverse, on cuisait tout, y compris fruits et salades.

Après une année de cours, je me suis rendu compte que les dirigeants donnaient un bon exemple du dicton : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. » Je me suis ensuite dirigée dans une étude de moi, encore moi et rien que moi, c’est-à-dire que j’observais comment mon corps réagissait à certains aliments. Pour faire cela, je me privais d’un aliment pendant 3 semaines, puis je m’en gorgeais… et j’observais. Sans le savoir, c’est une des meilleures méthodes pour trouver la nourriture à laquelle nous pourrions être sensibles.

Je ne suis plus retournée chez le chirurgien pour ce problème de cancer et j’ai joui d’une excellente santé et d’une grande vitalité entre les âges de 18 et 24 ans, après quoi j’ai émigré aux États-Unis.

Entre les yogourts verts, les pâtisseries géantes couleur arc-en-ciel et les agents conservateurs, il n’y avait de nourriture que le nom dans le monde où j’évoluais. Dès que possible, je me suis mise à jardiner : tomates, maïs, haricots, petits pois, courges, salades, choux, concombres, et j’en passe. Tout était biologique et délicieux. J’ai appris à faire des conserves, ainsi qu’à déshydrater et à congeler le surplus. Mes enfants sont nés et ont appris à se régaler de produits frais du jardin. Nous avons habité dans une forêt pendant des années, où l’on trouvait des arbres fruitiers à l’état sauvage : poires, pommes, abricots, prunes, pêches indiennes (elles sont rouges à l’intérieur), ainsi que des baies sauvages, un vrai festin, fraîches ou en confitures.

Nous achetions les produits qui nous manquaient chez des paysans de la région et commandions de la viande biologique d’animaux nourris à l’herbage. Mes sept enfants ont rarement été malades. Les grippes qui alitaient la plupart des gens pour des semaines ne duraient qu’un ou deux jours chez nous, durant les rares épisodes où nous étions affaiblis.

Aller plus loin que l’alimentation

Oui, la nourriture est très importante, mais elle n’offre pas une gamme complète du bien-être. J’ai vécu pendant des années dans une situation difficile et le stress a eu des conséquences néfastes sur ma santé. Je me suis retrouvée alitée pendant plusieurs mois, isolée, avec sept enfants à charge. J’ai recommencé à étudier la nutrition et je me suis inscrite à un programme de naturopathie, qui m’a aidé à remonter la pente. La nutrition en était une branche importante et j’ai à nouveau étudié le crudisme, sans les crabes cette fois, ainsi que d’autres régimes alimentaires. J’ai suivi plusieurs cures de détoxication et me suis fortifiée avec des suppléments alimentaires.

Durant cette période, je me suis rendu compte que bien que l’alimentation soit importante, les émotions le sont également. Si l’on vit dans un stress constant ou que l’on a un désir de mort inconscient en soi, la nourriture la plus saine et les suppléments les plus puissants ne nous garderont pas en vie ou en santé. Je me suis donc lancée dans l’étude des émotions, du rôle que joue l’inconscient, le subconscient et le super-conscient, et j’ai appris à transformer mes états mentaux pour récupérer la qualité de vie et de santé qui avait été la mienne lorsque j’étais plus jeune.

Santé et vitalité avec les aliments

Santé et vitalité se concentrent principalement sur la nutrition et la détoxication. C’est par là que j’ai commencé. C’est fort simple, mais pas nécessairement aisé. Il faut prendre soin de son corps, le véhicule qui nous conduit de la naissance à la mort. Malheureusement, la plupart des gens donnent de meilleurs soins à leur automobile et à leurs animaux qu’à eux-mêmes. Ce n’est que lorsqu’ils perdent la santé et sont affligés d’une maladie dégénérative ou catastrophique qu’ils y prêtent attention. Renversons cette tendance !

Commençons par les dix commandements d’une alimentation saine :
  1. Mangez avec une attitude de gratitude
    Ce qui est même mieux, c’est de vivre dans la gratitude. Le président d’une société bien connue aux États-Unis porte un petit appareil qui vibre toutes les 12 minutes… afin de l’inciter à éprouver de la gratitude quasi continuellement. Appréciez la nourriture que vous mangez. Visualisez les substances nutritives apportant les éléments et l’énergie nécessaires pour le bon fonctionnement de chaque cellule de votre corps, leur donnant la vitalité et la force dont vous avez besoin pendant la journée.
  2. Passez un moment agréable dans un environnement relaxant
    Votre métabolisme ne fonctionne pas bien dans un état de stress. La digestion s’effectue en mode parasympathique, ce qui veut dire dans un état relaxé. Manger « sur le pouce » ou pendant que l’on se dispute ou que l’on écoute les nouvelles va ralentir votre digestion et votre métabolisme. Si vous voulez bien nourrir votre corps, écoutez de la musique relaxante ou des sons naturels. Laissez les problèmes de la journée s’envoler. Partagez de bonnes nouvelles, de l’humour et des histoires positives.
  3. Machez bien votre nourriture
    La digestion des hydrates de carbones commence dans la bouche, lorsque la nourriture se mélange avec la salive. Avaler de petits morceaux facilite le travail de l’estomac.
  4. Choisissez de la nourriture biologique, de saison et pleine de substances nutritives
    Manger des aliments simples, qui sont cultivés de manière biologique, de préférence localement et auxquels on a permis de mûrir naturellement, voilà qui apportera des bénéfices pour la santé de votre corps. Choisissez aussi des super-aliments, qui sont pauvres en calories, mais riches en substances nutritives, que vous trouverez dans votre magasin bio. Intéressez-vous aux plantes et peut-être même aux « mauvaises herbes » qui contiennent une myriade d’éléments nutritifs.
  5. Mangez un assortiment de couleurs, de textures et de goûts
    Cela fournira à votre corps et à votre esprit ce dont ils ont besoin, sans avoir à jongler avec des recommandations quotidiennes. Cela nourrira la partie de vous qui aime la beauté et l’harmonie. Préparez de la nourriture qui titille vos papilles gustatives, votre odorat, votre vue et votre toucher : rouge, jaune, vert, blanc ; croquant, lisse, tendre, dur… Utilisez votre imagination. En médecine ayurvédique, on reconnaît six goûts différents : doux, aigre, amer, salé, épicé et âcre. Dans la plupart des pays occidentaux, on ne s’attend qu’à du sucré ou du salé et la population de ces pays a tendance à grignoter plus de snacks sucrés ou salés qu’elle n’en a besoin, sans se rendre compte que le corps a encore faim, mais faim pour les goûts, les couleurs et les textures qui lui manquent.
  6. Nourrissez votre « arbre généalogique »
    Une partie de notre corps est encore programmée comme l’était celui de nos ancêtres. Cette partie de nous, qu’elle soit physique ou émotionnelle, demande de l’attention. J’ai des ancêtres suisses… du pain et du fromage mangés à l’alpage me nourrissent profondément. Des ancêtres grecs ? Dégustez de la feta et des olives de ce pays. Quel groupe ethnique trouvez-vous dans votre arbre généalogique ? Pensez à nourrir cette partie de vous-même… et observez vos réactions.
  7. Nourrissez l’enfant en vous
    AMUSEZ-VOUS ! Pensez à des souvenirs heureux ou à un rêve (si vos souvenirs ne sont pas heureux, imaginez quelque chose de positif). Donnez-vous l’autorisation d’être un enfant heureux et même espiègle. Nous avons tous beaucoup d’obligations sociales, mais les recherches démontrent l’importance du plaisir et de l’amusement. Vous aurez moins de problèmes avec la nourriture si vous vous accordez le droit de vous amuser. Personnellement, j’aime me balancer dans les parcs ou jouer au cerf – volant sur les plages.
  8. Émotion = E-nergie en mouvement
    Les émotions doivent passer à travers nous. Malheureusement, on a tendance à les bloquer, ce qui permet à des problèmes physiques ou des douleurs de se développer. Repousser une émotion conduit souvent à des allergies de toutes sortes. Observez vos émotions. Êtes-vous en colère, triste, anxieux, frustré ? Comment ressentez-vous cette émotion ? Où est-elle localisée dans votre corps ? De quoi s’agit-il vraiment ? Observez… Relâchez…
  9. Nourrissez votre besoin de contact physique et de communauté
    La nourriture ne peut pas prendre la place d’une étreinte, de contacts physiques ou de l’intimité dont nous avons besoin.
    Si vous n’avez pas de conjoint ou de petit(e) ami(e), offrez-vous des massages, une journée dans un spa, pratiquez un sport de contact ou trouvez des amis qui vous enlaceront amicalement. Pourquoi pas la danse ou les arts martiaux ?
    Faire partie d’un groupe social où les gens travaillent et jouent ensemble est important pour la santé. Les villes et villages qui vivent dans un esprit de communauté ont moins de problèmes de santé. Trouvez donc votre communauté.
  10. Nourrissez votre esprit et votre âme
    Nous avons bien sûr besoin de nourriture pour notre corps physique, mais notre esprit aussi demande à être inspiré par quelque chose de positif. Prenez le temps, chaque jour, de méditer sur du positif, de lire des livres ou des articles qui vous inspirent ou d’écoutez des conférences qui vous motivent. Nourrissez votre âme par la prière, la méditation, la communion, la musique, la respiration profonde, la relaxation, la beauté, etc. Si une promenade dans la nature vous aide à remplir ce besoin, allez-y. Rien ne peut remplacer le sentiment d’être connecté avec quelque chose ou quelqu’un de plus grand que soi. J’aime à faire du kayak… c’est calme et les paysages naturels que l’on traverse sont magnifiques, que ce soit au bord de l’océan, sur un lac ou le long d’une rivière. Pour moi, c’est relaxant, rafraîchissant et restaurateur.

La responsabilité, que l’on pourrait appeler « réaction-habileté » (ça sonne mieux en anglais) veut dire que nous avons l’habilité ou la capacité de répondre à la vie. Il est plus facile de devenir responsable et de suivre un mode de vie sain si ce mode de vie est basé sur des fondations fermes et logiques.

Tout est énergie

Pour commencer, j’aime à démontrer que nous sommes tous formés d’énergie. Vous avez certainement observé l’image d’un atome. Il y a un noyau, au milieu, composé de neutrons et de protons. Des électrons circulent et vibrent autour de ce noyau. Notre corps est formé de muscles, d’os, d’organes, etc… Prenons le foie, par exemple. Celui-ci est formé de cellules, qui sont formées de molécules, qui sont formées d’atomes… qui vibrent à des fréquences différentes. Nous savons que la vibration d’un foie sain est différente de la vibration d’un foie malade. Chaque cellule garde le souvenir de la santé ; il est donc possible à notre corps de retourner à la santé grâce à de bonnes instructions.

La nourriture saine et naturelle « parle » à nos cellules ; elle leur donne des instructions. Nos cellules ne comprennent pas le langage des aliments chimiques, agents conservateurs, colorants artificiels ou organismes génétiquement modifiés (OGM). La nourriture saine et naturelle donne de l’énergie à nos cellules et apporte à notre corps les éléments nécessaires à son bon fonctionnement : protéines, matières grasses et hydrates de carbone, vitamines, minéraux, oligo-éléments, phytonutrients et bien d’autres.

Ce n’est pas seulement la chimie d’un aliment qui est importante, mais l’énergie de celui-ci. On peut démontrer, avec un appareil de photo Kirlian, que l’énergie d’un aliment biologique est différente d’un aliment commercial, comme on le voit sur la photo de ces champignons. A gauche, un champignon biologique, à droite un champignon commercial.

Aimeriez-vous avoir plus d’énergie et de vitalité : nourrissez-vous d’aliments vivants, naturels, remplis de potentiel énergétique. Une photo Kirlian démontre à nouveau, à gauche, l’énergie de la main d’une personne qui consomme des aliments à hautes substances nutritives et à droite, l’énergie de la main d’une personne qui consomme de la nourriture de moindre qualité. C’est un choix à faire !

Le futur de la nourriture

On trouve maintenant un nouveau groupe d’aliments appelés super-aliments (superfood). Leur teneur en calories est très basse, mais il regorge de substances nutritives optimalisant la santé. De nouvelles recherches démontrent que ce ne sont pas les calories de la nourriture qu’il faut compter, mais les éléments nutritifs qu’elle contient.

Il n’y a pas si longtemps, la nourriture provenait du paysan, du chasseur et du pêcheur. On n’y ajoutait pas d’hormones, d’engrais chimiques magiques, et on ne mélangeait pas les graines de tomates avec des gènes de porc ou de poisson. Après plusieurs années d’espoir que les produits chimiques et les manipulations génétiques pourraient sauver le monde de la faim, et la constatation que ce n’est pas le cas et que c’est plutôt néfaste, il y a un mouvement mondial pour le retour à la nature. Je reçois presque quotidiennement des articles m’annonçant qu’un nouveau groupe prend conscience de l’importance de la nourriture naturelle.

Aujourd’hui, c’était en Grèce que des personnes préparaient des « boules de graines, » mélangées avec de la terre et de l’engrais, qui étaient lancées dans la nature, où elles croissaient et offraient de la nourriture aux habitants avoisinants. Dans bien des villes aux États-Unis, des groupes d’individus transforment des terrains vagues en jardins potagers, pour le bénéfice de tous.

La permaculture et la culture de jeunes pousses prennent racine dans le monde entier. Chaque personne pourrait avoir une petite parcelle de vitamines naturelles, même à domicile. Selon une conférence que je viens de suivre, une jeune pousse de brocoli aurait les mêmes substances nutritives que le brocoli que nous achetons au marché, en moins gros.

Le corps a ses besoins

Parce que je suis naturopathe de carrière, la plupart des gens présument que je suis végétarienne. Et bien non, ce n’est pas le cas. Ma devise est « d’être en santé », pas « végétarienne », « végétalienne » ou « crudivoriste. » J’ai suivi des régimes vétégariens, végétaliens, crudivoristes, macrobiotiques et bien d’autres, soit pour les essayer et observer les réactions de mon corps, soit pour une saison selon mes besoins de santé.

J’étais crudivoriste-végétalienne au commencement de mon divorce, qui a engendré énormément de stress. Un de mes collègues, un naturopathe, m’a dit que j’allais mourir si je ne commençais pas à cuire mes aliments et à les épicer fortement. Mon méridien du rein était tellement épuisé (je vivais dans la terreur) qu’il avait besoin d’être réchauffé. A cette période, je pensais que la nourriture crue était la meilleure et la plus digestible, pour tous les maux. J’ai fait des recherches et trouvé qu’il avait peut-être raison. D’autres personnes étaient décédées d’un méridien affaibli. Je me suis mise à cuire certains légumes et à ajouter des piments à mes menus. Je m’en suis sentie mieux.

Quelques années plus tard, alors que je suivais un cours de naturopathie, l’instructeur m’a fait remarquer que mes troubles digestifs provenaient du fait que je ne mangeais pas de viande. Je suis du groupe sanguin O et du groupe métabolique « protéines ». Mon corps a besoin de protéines animales et de matières grasses. Il ne peut guère digérer les céréales. L’idée de manger de la viande ne m’attirait guère. Cela me répugnait plutôt. Un jour, j’étais au restaurant avec quelqu’un qui mangeait un steak saignant. J’en ai demandé un petit morceau… un sursaut d’énergie me secoua. C’était délicieux et j’en avais besoin. La viande que je choisis provient d’animaux vivant dans des conditions naturelles et ayant été bien traités durant leur vie.

L’alimentation ne doit pas devenir une religion. Elle peut diviser les groupes, certains se sentant plus spirituels parce qu’ils ne mangent pas de viande… alors que d’autres se sentent plus mûrs parce qu’ils en mangent. Soyons conscients de nos besoins et nourrissons-nous d’aliments nutritifs et naturels. C’est là la clé de la santé.

Santé, vitalité et longévité

La longévité en bonne santé, heureuse et prospère se rencontre chez des individus qui :
  • ont un mode de vie actif,
  • dégustent des aliments à basses calories et à haute teneur nutritive,
  • font de la détoxication saisonnière,
  • apprécient leurs émotions et leur permettent de parcourir leur chemin sans blocage,
  • focalisent leur attention sur les tâches à accomplir,
  • ont une bonne relation avec leur subconscient,
  • vivent selon les désirs de leur cœur.

A votre bonne santé !

Danielle J. Duperret
Docteur naturopathe et holistique, ND/PhD – Las Vegas (USA)
Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et citez la source : www.energie-sante.net
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Commentaires (4)
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  • Antonin

    Bonjour, comment puis-je connaître mon groupe métabolique?

    Merci d’avance!

    Antonin

  • Jean-Paul

    Bonjour Gresset,
    L’abonnement en tant que Membre Energie-Santé qui coûte 8 euros par mois, est sans obligation de durée : 1 jour, 1 mois, 1 an, 10 ans… c’est vous qui décidez !
    Pour stopper votre abonnement, il vous suffit de l’annuler sur votre compte Paypal et, votre compte « Membre Energie-Santé » sera automatiquement et immédiatement suspendu.
    Vous avez l’entier contrôle de suspendre votre compte et de la réactiver, quand vous le souhaitez.
    Cordialement – Jean-Paul

  • gresset

    bonjour
    je reçois « Energie santé » je trouve ça absolument super. J’ai lu le résumé de DANIELLE J. DUPERRET;cela ma beaucoup parlé et intéressé; j’aurais aimé participer à sa conférence, j’avoue ce qui me retient c’est l’inscription de 8 euros mois(96 l’an) (n’ayant pas de ressource, je dois calculer mon budget) d’autant que je ne regarderais pas systématiquement les conférences qui se présenteront. .C’est dommage que l’abonnement ne soit pas à la conférence comme parfois .
    merci pour tout ce que vous nous apportez.
    cordialement

  • Isler Christiane

    Bonjour,
    Merci pour cet excellent article.
    Ce qui m’a interpellée c’est le fait que vous apparteniez au même groupe sanguin que moi (les mangeurs de viande) et que vous mentionnez des symptômes correspondant au manque de protéines. Quels étaient-ils ?
    Je vous avoue que j’aurais beaucoup de peine à manger un steack même bio ! Du poulet oui mais peu souvent.
    Merci pour votre réponse.
    Chaleureuses pensées
    Christiane