La physique quantique montre que les particules élémentaires peuvent être solides et stables et devenir l’instant d’après des ondes d’énergie pure à l’autre bout de l’univers. Mieux encore : elles peuvent occuper plus d’une position spatiale au même instant. Que se passe-t-il quand on applique ces découvertes de la physique quantique à la biologie ?
La génétique ondulatoire ou sonore
Le Dr Peter Gariaev de l’université de Toronto, Canada, a inventé la génétique ondulatoire ou Linguistic Wave Genetics, qui consiste à modifier l’ADN avec des sons. Pour montrer le potentiel de cette discipline nouvelle, des chercheurs ont administré à deux groupes de rats un poison pour le pancréas.
Le groupe de contrôle a développé le diabète et les rats sont morts peu après. L’autre groupe de rats a reçu par laser l’information génétique suivante : faites repousser et régénérer les cellules endommagées de votre pancréas. Ce groupe a survécu et les pancréas sont redevenus fonctionnels.
Le Dr Gariaev, père de la génétique ondulatoire, affirme qu’il existe deux méthodes pour aider à prolonger la vie, toutes deux dérivées de cette technologie :
Prendre les cellules souches du cordon ombilical d’un bébé, et du tissu organique tiré du placenta de sa mère.
Lire les informations contenues dans ces tissus avec un laser.
Traduire ces informations en modulation sonore.
La faire écouter chaque jour à la maman.- Le Dr Gariaev explique que nous vivons dans un monde informationnel holographique, et ces données sont accessibles partout.
Il affirme « posséder la technologie pour s’adresser à la personne holographique. » Il suffirait de lire les informations holographiques d’un nouveau-né et de les transmettre à un malade ou un vieillard, leur permettant ainsi de se régénérer, de retrouver vitalité, vigueur et dynamisme, et même d’inverser le processus de vieillissement.
Modification des propriétés ondulatoires de l’ADN
Son équipe a ainsi transformé avec succès des embryons de grenouille en embryons de salamandre, par la seule transmission d’informations !
De cette façon l’information est transmise en totalité, sans aucun des effets indésirables et des malformations qu’on rencontre quand on isole un gène pour le réintroduire dans un génome.
Cette expérience souligne l’immense utilité de la génétique ondulatoire, qui a sans aucun doute une plus grande influence sur la formation des organismes que le processus biochimique des séquences alcalines. Cela nous aide à nous souvenir que nous ne vivons pas dans un monde de matière physique solide. L’ADN, en tant que molécule, possède lui aussi une structure ondulatoire qui peut être modifiée de diverses façons.
L’individu devient « reprogrammable »
« Tant que cette génétique ondulatoire est aux mains d’êtres bons et généreux, me dira-t-on, pas de danger. Il faut simplement éviter que des êtres malveillants s’en emparent. » Eh bien non. Je m’inscris en faux. D’abord, comment savoir qui est un être bon et généreux ? Qui décide ? Faut-il introduire des critères de moralité, de civisme, d’humanisme, des critères religieux, que sais-je ?
Quand bien même on ne se tromperait pas en confiant cette technique explosive à tel groupe de chercheurs, la diffusion rapide de l’information nous empêchera d’éviter que ladite technique se propage et tombe en de mauvaises mains.
– Le progrès technique est comme une hache qu’on aurait mis dans les mains d’un psychopathe. – Albert Eistein
L’influence de nos pensées
Le son peut rajeunir, mais le son peut asservir. Qui nous dit que des techniques comparables ne sont pas déjà en œuvre ? Qui nous dit qu’elles le sont ?
Le son suffit à changer le monde. Le son suffit à mettre en route les moteurs atlantes. Le son peut détruire des murailles, des vitres et du cristal, mais le son peut aussi construire, structurer, modifier profondément la structure même du vivant. C’est le moment de se souvenir des premiers mots de la Genèse : « Au commencement était le Verbe, et le Verbe s’est fait chair. » C’est à dire le son intelligible et modulé par l’homme est à l’origine de tout ce qui est, a été, et sera.
On y vient. La science nous l’apporte sur un plateau. Et ça fait tout drôle.
Hamlet regarde le crâne aux orbites vide dans lesquelles il voit s’animer des galaxies sans nombre. Spectateur, sa simple présence crée les univers. Hamlet est la mesure du Tout. Tout est à la démesure d’Hamlet.
Xavier Séguin
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