Vous trouverez donc ci-dessous les principaux critères de qualité qui font que votre eau vous convient ou pas, qui font qu’elle va être absorbée, assimilée par vos tissus et vos organes, et qu’elle va jouer son rôle de médiateur si important pour toutes les réactions biophysiques et biochimiques de vos cellules.
Il y a en tout 10 critères importants pour caractériser une eau :
1 – la pureté
Pour laver efficacement votre corps, il vous faut absorber une eau pure ! Ce qui n’est pas si évident aujourd’hui, tant l’eau de la ville comme les eaux en bouteille de PET, présentent des défauts sur ce point : l’eau courante contient en effet de nombreux résidus de médicaments et de pesticides agricoles. Et l’eau en bouteille, outre son côté anti-écologique à cause du plastique rejeté dans l’environnement, contient des aldéhydes toxiques et de l’antimoine provenant du PET.
L’eau osmosée a toutefois 3 défauts (son pH est parfois trop bas, sa minéralité est éventuellement faible, sa structure cristalline et son énergie ont disparu), toutefois ceux-ci peuvent être corrigés aisément, afin d’offrir au consommateur une eau d’une part purifiée, mais aussi par ailleurs régénérée et redevenue vivante (voir § 9).
2 – le pH
Il s’agit de la mesure de l’acidité de l’eau.
Si l’on boit une eau trop basique (l’inverse de l’acidité forte), on peut contrarier à terme le potentiel de digestion de l’estomac qui se réalise en milieu très acide, puis par contrecoup contrarier aussi le travail du pancréas.
La suite de la digestion se fait mal, car alors les bactéries de putréfaction prennent le dessus sur celles de la fermentation qui nous sont plus utiles ! La flore de fermentation (bifidum, colibacilles) est en effet celle qui répare les muqueuses de l’intestin, celle qui produit des vitamines (vitamines K et B par ex), et aussi celle qui module notre réponse immunitaire vis-à-vis des aliments eux-mêmes !
La règle est donc de boire plutôt acide (entre les valeurs de PH 6.5 et 7.0, voir sur les étiquettes des eaux en bouteille), toutefois sans excès d’acidité (éviter les eaux à pH inférieur à 6) ; et en tout cas de ne pas boire longtemps trop basique (pH supérieur à 7.5), ou bien sinon sous la forme d’une cure ponctuelle de 8 à 10 jours pas plus.
3 – la température
Il faut boire le plus souvent chaud : le matin au lever de manière abondante, après le jeune prolongé de la nuit, mais aussi dans la journée, entre et pendant les repas, l’eau chaude réchauffe et aide à la digestion. Terminer un repas par un verre ou une petite tisane à base d’eau chaude, est le meilleur stimulant pour la digestion.
C’est un principe ancestral dicté par l’Ayurvéda, qui s’avère toujours juste ; si vous voulez perdre du poids, votre métabolisme ralenti a besoin d’eau chaude ; si au contraire vous souhaitez en gagner, votre métabolisme refroidi a encore besoin d’eau chaude ; surtout si vous prenez de l’âge ou bien si vous êtes convalescent ; et à fortiori durant les saisons froides ou fraiches, buvez chaud !
4 – la teneur en bicarbonates
Les bicarbonates sont de fait importants pour le corps, car ils sont les piliers du système tampon du sang, un ensemble de processus qui fixe la valeur du pH du sang autour d’une valeur constante de 7.35 ; dans un premier temps, équilibrer son alimentation en aliments acidifiants (viandes, charcuteries, laitages, sucres) et/ou alcalinisants (fruits et légumes) est un des secrets d’une bonne santé.
Mais les bicarbonates de l’eau peuvent neutraliser aussi les acides des aliments, et même l’acide lactique du muscle, dont le rein doit se charger, d’où l’intérêt bien réel des eaux riches en bicarbonates, comme l’eau de Quézac, l’eau de Perrier et surtout l’eau de Vichy.
On remarquera que ces eaux qui luttent efficacement contre les acides du corps ont-elles-mêmes un pH acide (Vichy de pH 6,6 par ex) ; en matière de lutte anti-acides, c’est bien le taux de bicarbonates (base retard) qui est important et non pas le pH.
5 – le degré d’oxydation
Oxyder une eau est nécessaire pour la désinfecter des bactéries qui sont présentes dans les réseaux, parfois en trop grandes quantités; c’est ainsi que l’on utilise du chlore (eau d’adduction), de l’ozone (piscines), du péroxyde d’hydrogène, etc … pour lutter contre les germes de l’eau.
Mais boire une eau oxydée à long terme, c’est … s’oxyder soi-même, donc vieillir quelque peu à chaque verre absorbé. Il vaut donc mieux éviter de boire à long terme les eaux oxydées.
Après filtration ou osmose, l’eau de ce point de vue devient très acceptable du fait au moins de l’élimination des molécules oxydantes résiduelles présentes (chlore et chloramines) dans les eaux d’adduction.
L’oxydation de l’eau est une valeur méconnue, très largement sous-estimée ; pour un aliment aussi essentiel que l’eau, son impact sur la santé est pourtant très important ; boire ou manger des aliments oxydés tous les jours amène logiquement aux maladies de l’oxydation et du vieillissement (cancers, thrombose, infections froides à bactéries et à virus, accidents vasculaires et infarctus): concernant l’eau bue qui représente 99% de nos molécules de constitution, il serait plus que temps d’informer les populations que l’eau d’adduction est vraiment oxydée par le chlore et que l’on peut facilement modifier cet état de fait par filtration ou osmose avant consommation ?
6 – la salinité ou dureté de l’eau
Il s’agit là de la teneur en minéraux, dont l’essentiel est constitué par la présence de calcium et de magnésium. Cette valeur se lit aussi sur les étiquettes des eaux en bouteille !
Les eaux à minéralité globale élevée, entre 1600 et 4300 mg/litre (Hépar, Contrex ou Vichy) sont à déconseiller aux personnes qui veulent nettoyer leur sang et leur tissu conjonctif (intoxication, obésité, surpoids), car ces eaux sont trop salées, ce qui favorise plutôt la rétention d’eau et moins le drainage des tissus.
Les eaux de source, entre 25 et 110 mg/litre (Mont-roucous, Montcalm, Celtic, Volvic) ou encore les eaux osmosées, entrent à l’inverse dans la catégorie des eaux très peu salées et sont donc des eaux de drainage à proposer aux personnes en surpoids ; pour les personnes maigres ou bien convalescentes, il faut au contraire corriger ce relatif manque de sels minéraux ; une eau osmosée sera ainsi passée sur un lit de coraux ou bien d’algues de type lithothamne, ou encore adjuvée de solutions d’oligo-éléments, comme le plasma de quinton …
Car le champ magnétique d’une eau passe par les ions dissous en elle : elle doit donc contenir un squelette minéral minimum (entre 60 et 120 mg/L), même si celui-ci n’est que peu ou pas absorbé.
7 – la quantité
Le plus important pour tout le monde est de boire chaud et goûteux (avec herbes ou tisanes), ce qui aidera inévitablement à atteindre la bonne dose d’hydratation journalière ; lorsqu’on boit ainsi, on arrive facilement à augmenter sa quantité de boisson de 10 à 20% ! Ce qui constitue une véritable révolution pour le corps et un réel traitement médical, si l’eau est de bonne qualité.
Boire plus, c’est toujours améliorer des problèmes de santé comme les inflammations de la peau, la constipation, les différents types de cystite, les maux de tête ou de dos ! Ce sont là les premiers signes d’une déshydratation chronique.
Si l’on boit un diurétique comme le café ou le thé noir (une mauvaise habitude adoptée par beaucoup en début de journée), alors il faut augmenter du même volume sa ration quotidienne en eau plate.
8 – le rythme des verres d’eau
Mis à part la quantité globale, le quand est aussi un point important à considérer ?
L’idéal est de boire, ainsi que le recommande l’Ayurvéda, abondamment le matin au lever, soit par ex, 2 tasses d’eau ou de tisanes chaudes : une eau chaude, car le métabolisme du matin est encore ralenti et qu’il sera ainsi activé. Ensuite, il faut boire entre les repas selon sa soif et son activité physique, les sportifs et les travailleurs de force ne devant pas oublier de prendre un peu de sel (ou du plasma de quinton hypertonique) après avoir beaucoup transpiré.
Pendant les repas eux-mêmes, il est conseillé de boire peu, mais chaud et de terminer un repas encore par une petite prise d’eau chaude, de façon à lancer idéalement la digestion (surtout si l’on a, par gourmandise, pris un dessert glacé ?).
9 – l’énergie de l’eau et sa structure
Ce réseau très fin est porteur d’informations ; si l’eau a contenu des polluants, leur mémoire reste gravée dans la structure de l’eau et seule l’osmose inverse peut à la fois éliminer ceux-ci et en même temps effacer cette mémoire résiduelle.
A ce stade, l’eau mérite d’être ré-informée, idéalement par certaines céramiques, qui proviennent du sol compacté ou de la roche, tels que ceux ou celles qu’elle a pu « fréquenter » à sa source ! Les céramiques EM sont l’exemple d’un bon matériau de régénération de l’eau tout juste osmosée.
L’eau redevient ainsi un réseau pur, porteur d’informations originelles : le passage par un vortexeur est le moyen privilégié pour obtenir alors une eau dynamisée, pleine d’énergie mécanique et lumineuse : au sein du vortex, la pression de gravitation diminue et donc le champ magnétique augmente, ce qui rend l’eau naturellement magnétisée et restructurée physiquement.
10 – le prix de revient très bas
Une eau de grande qualité nutritionnelle doit pouvoir bénéficier à tous, sans être chère ! C’est le cas des eaux filtrées et aussi des eaux osmosées, dont les prix de revient tout compris, sont très inférieurs à ceux des eaux en bouteille.
Des technologies donc à la fois écologiques, mais aussi économiques.
L’eau idéale à boire pour chacun
Quelle eau faut-il donc boire ? C’est un choix important, puisqu’il conditionne quelques 70% de notre volume de base et même 99% de la population de toutes nos molécules !
- Une eau pure, obtenue par osmose inverse.
- Une eau de pH situé entre 6.5 et 7.2, pas plus.
- Une eau présentée chaude ou à température voisine de 37°C.
- Une eau dont le taux des bicarbonates est nettement supérieur à celui des sulfates et des phosphates (voir sur les étiquettes des eaux en bouteille).
- Une eau peu minéralisée (< 300 mg par litre) pour les personnes en surpoids et un peu plus pour les personnes maigres.
- Une eau désoxydée, après élimination au moins de tout oxydant (comme le chlore).
- Une eau abondante, autour de 30 ml/kg/jour, sous la forme d’eau pure, de soupes et de bouillons, de tisanes ou de jus d’herbes, de façon à en privilégier le goût (éviter le thé noir et le café, qui sont des diurétiques).
- Une eau reminéralisée légèrement après osmose, dont le réseau à été régénéré par contact avec des roches naturelles et magnétisée ensuite au sein d’un vortexeur.
Confiez cet article à votre médecin, il n’est pas « au courant », il vous remerciera …