Nous avons le choix

Mes frères et sœurs de cœur, mes chers compagnons d’âmes, une envie ce jour, vous parler de la vibration du mot Changement.

J’entends ici et là, il faut que je travaille sur moi, il faut que je change, il faut que, j’aie encore tellement à faire pour évoluer… j’avais envie de réagir sur ces vibrations que je perçois.

Déjà… « il faut que » n’est pas un début de pensée bénéfique. « Je fais de mon mieux à chaque fois… » est préférable, il n’y a aucune obligation, en quoi que ce soit, où que ce soit, les règles, les lois, les morales sont des limites humaines, vous n’avez même pas l’obligation d’achever votre vie terrestre plus « sage » que vous étiez en y atterrissant.

Vous pouvez piétiner, reculer… Tout est sous votre Responsabilité, guidée par votre Conscience. N’oubliez pas la notion de temps, elle aussi, n’est que terrestre ! Bien entendu, nous aspirons tous à être dans l’harmonie, la paix et la joie en évoluant le plus rapidement possible, mais patauger, végéter ou trépigner ne sont qu’apparences de stagnation. Ne soyez donc pas durs envers vous-mêmes ou les autres si vous trouvez que rien ne bouge, tout est expérience… vous avancerez, tous, un jour ou l’autre, quel que soit le temps mis. Il ne peut en être autrement car…

La loi de la Vie ce n’est pas le changement mais la continuité…

Continuer, c’est un changement en cours…
Nous sommes en cours de « téléchangement » à travers l’écran de nos croyances, avec une vitesse de connexion plus ou moins rapide, à qui Nous sommes Vrai-ment. Le logi-ciel, c’est qui nous Sommes dans notre Demeure, reliés au Divin.

Un pas en avant, un pas en arrière, sont des mouvements en continuité d’une décision prise. Même l’hésitation est une décision, donc un mouvement. Tout mouvement est une « préparation », une pré-réparation, un changement en cours qui continue à son rythme, le nôtre, différent suivant les êtres.

Il se respecte.
Il ne se juge pas.
Il se vit !

Il y a aussi du mouvement dans un temps d’arrêt car c’est soit un temps de maturation nécessaire soit un temps de prudence ou d’analyse, où le mouvement se situe ailleurs que dans le pas.

Pourquoi

POURQUOI est-ce qu’on piétine, stagne, recule, hésite, fuit, lambine, reporte, abandonne ou renonce ???
PARCE QUE nos croyances nous limitent. Ce n’est pas plus compliqué que ça.
EN QUOI consistent ces limites ? Des croyances de base, à la base … sur ce qui nous semble possible ou impossible. C’est tout. C’est peu et beaucoup à la fois.
C’est peu car il suffit de changer de croyances.

C’est beaucoup, parce que nous en sommes les marionnettes, la croyance est issue d’une pensée, en tant que pensée, elle peut donc se changer, ce qui s’effectue en une seconde. De plus, vous vous mettez, ou « on vous met » (nous croyons qu’on nous met… serait une formulation plus juste), la pression sur un résultat attendu.

Nous sommes toujours dans l’illusion avec nos croyances, même avec celles que nous pensons fondamentales. Elles ne sont qu’un instant mental, un leurre, un tour de passe-passe, mais elles sont nécessaires pour apprendre ce que nous pouvons en faire.

Je crois ne pas me tromper, certains pensent à cet instant, il exagère… Mon patron exige de moi que… mon conjoint veut que… on attend de moi que… je suis obligé de bien travailler sinon je vais être viré, je suis obligé d’être conciliant et aimable sinon on va se fâcher etc.…

Nous avons toujours le choix

Très sincèrement et honnêtement, plongez en vous. Comment un autre que vous, peut vous obliger à faire quoi que ce soit, ou à penser quoi que ce soit ? Je pourrais dire, vous n’avez pas de revolver sur la tempe (mais même là vous auriez le choix…) Ce que je veux vous faire comprendre, que j’ai mis tant de temps à capter, est que NOUS AVONS TOUJOURS LE CHOIX.

Je profite de cet instant pour vous glisser une petite astuce, quand vous sentirez une pression de la part de quelqu’un qui essaie de vous « atteindre », en retour, prenez conscience d’une part, que c’est vous-même qui lui donnez un poids, d’autre part, émettez quelque chose du genre : cette pression que je ressens, retourne immédiatement à son émetteur en énergie d’amour.

Regardez-moi… c’est génial, en fait… aucune pression ne peut ni m’atteindre, ni même naître en moi. L’avantage immense que j’ai par rapport à vous tous, c’est que de ne pouvoir avancer physiquement me permet d’avancer autrement. Je peux jouer à l’infini avec mes pensées, mes croyances et voir où me mène ce Je. Aucune peur sur ce que je pourrais faire, puisque je ne suis ni employé, ni patron, ni conjoint, ni père de famille, ni ami… personne ne m’envoie de test de pression, et je ne me la mets pas moi-même puisque cela ne me servirait à rien.

Alors, je ne peux que vous suggérer, lorsque vous serez allongé dans votre lit ce soir, de faire cette expérience de vous imaginer à ma place, incapable de commander un déplacement à mon corps physique et délivré de toute pression, de tout objectif, de toute obligation. Que feriez-vous de vos pensées et de vos croyances ? Peut-être alors, ce moment de réflexion fera naître en vous cette idée : « Et si j’apprenais juste, à faire de mon mieux, à chaque instant… en me détachant du résultat exigé ou désiré ? Sans chercher à changer les autres, à me changer, juste vivre et continuer, avec ce que je ressens comme juste à cet instant précis… »

C’est la seule chose à faire, la juste attitude pour rester en paix. Débarrassons-nous de la comparaison, de la notion de nullité, d’incompétence, de défaut, nous sommes tous humains, mais perfectibles par nos expérimentations.

Quand nous nous trompons ou nous égarons, ou quand nous n’atteignons pas un objectif fixé, c’est que nous n’avons pas encore compris ou assimilé pleinement quelque chose. En faisant un choix différent, nous avancerons… toujours. Même si ce choix-là ne donne pas encore le résultat souhaité. Affranchissons-nous de la fixette sur le résultat qui engendre une pression !

Comme dans la Matière, un objet posé sur une étagère pourra la faire basculer, chavirer selon son poids. Dans l’Energie, plus nous mettrons de pression, plus la force en retour sera intense. Pour ne pas tomber, c’est une question d’équilibre. Sur quel état-j’erre…

C’est la raison de la fatigue puis de l’abandon ou du renoncement. Nous n’avons rien à prouver à personne ! Qui a énoncé cela ? Réfléchissez bien… Qui peut dire à quelqu’un : vous devez faire ça… Dépolluons-nous de ces pressions !

Grandir c’est choisir, pas devoir ! Évoluer c’est la façon « de voir » !

Nous sommes si souvent en lutte, contre toute forme de pression, c’est normal et logique vu tous les stimuli ici et là, nous sommes déjà issus d’une Histoire, et de la pré-Histoire où notre cerveau a été longuement robotisé pour être vigilant à la moindre attaque, donc à voir le négatif en premier pour une réaction de survie en urgence ! Il est temps de vivre en continu, tout simplement, nous sommes en sécurité car tout est juste.

Nous sommes des êtres de lumière libres, nous l’avons oublié, nous pouvons nous dé-robotiser ! Nous sommes venus Ici apprendre l’acceptation et la responsabilité de nos choix. C’est ainsi que nous reprendrons conscience de notre Liberté. Et que nous ferons les meilleurs choix, en harmonie avec l’univers.

Tant que nous cherchons à combattre, résister, repousser, nous émettons une énergie, une force en retour qui nous empêche de recevoir… parce que nous sommes alors en lutte pour garder l’équilibre.

Rien ne peut nous affecter

si nous faisons le choix de ne pas en être affecté.
C’est une règle absolue et universelle, éternelle, incontestable.
Si n’avons pas cette prise de conscience, nous subissons la vie au lieu de la vivre, nous subissons notre mental au lieu de le remercier de nous prévenir pour nous laisser ensuite choisir.

Laissons la vie aller en toute simplicité. Elle ne demande que ça, et nous aussi, dans notre Nature. La paix intérieure est à ce prix. La paix est un état naturel !

Nous pourrons alors nous métamorphoser, en laissant le changement s’effectuer de lui-même, naturellement, sans forcer… d’ailleurs ce mot « changement » est venu au fil des années, se substituer peu à peu au mot « muer »… j’ai envie de jouer avec son anagramme : emuer… cela n’existe pas, mais je le trouve beau ce mot inventé… être ému… émuer : comme une action sur l’émotion.

Je vais certainement vous bousculer, encore une fois, mais Personne ne fait quelque chose qu’il ne veut pas faire ! Je vous vois déjà, réagir, ohhhhhh mais non , il a tort tout de même, il va trop loin !

Je ne vais pas trop loin, je suis exactement à l’endroit idéal ! Précisément !
Vous pensez que le pouvoir sur votre vie vient des autres ou des événements jalonnant votre vie, réalisez-vous à quel point, finalement, c’est…. pardonnez-moi… « stupide »…. (dénué de toute raison et de logique est moins violent, rires… c’était plus long !) C’est même impossible. Le pouvoir, c’est vous qui le détenez, tout le temps.

Combien de fois avez-vous pensé dans votre vie : « il faut que, je n’ai pas le choix »… soyez honnêtes, combien ? Un certain nombre de fois, tout comme moi.

Vous vous êtes menti. Je me suis menti

Nous nous sommes arrangés pour nous donner cette illusion qui nous donnait une justification pour ne pas reprendre le pouvoir sur notre vie, sous notre responsabilité. Nous laissons aux autres le pouvoir que nous voulons bien leur donner.

Nous avons toujours le choix, pas toujours le courage de l’assumer avec ses conséquences, la réalité est là. Par peur. Détectons la peur derrière, vivons-la en la reconnaissant puis, virons-la.
Pour conclure, allégeons-nous, c’est ainsi que nous décollerons et ascensionnerons ! Balançons le surpoids !

Nous avons tout pouvoir sur Nous !

Qui y va en premier ?

Jean-Yves, tout léger…
23.04.2016

Pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, Jean-Yves est ce que l’on appelle un « grand traumatisé », cloué sur son fauteuil. qui ne peut s’exprimer qu’avec un doigt sur un clavier, à l’aide d’une facilitatrice; ce que l’on appelle la « Communication Profonde Accompagnée ». Cela ne l’empêche nullement de visiter d’autres mondes, sur d’autres plans de conscience, sans quitter « physiquement » son fauteuil et de nous partager les enseignements reçus lors de ses explorations… Merci à toi Jean-Yves.

Voir les autres artices de cette série de messages : Qui es-tu ?,  Que veux-tu ?,  Que dis-tu ?
Jean-Paul Thouny

Livre de Jean-Yves et Eliane Fayolle :
Le journal de bord de Jean-Yves – Autrement capable

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