Il s’agit d’une maladie endémique induite par certaines tiques (Ixodes) porteuses d’un micro-organisme spiralé, le Borrelia burgdorferi, de la famille des spirochètes.
Origine de la maladie de Lyme
Les troubles ont été identifiés pour la première fois dans les années 1970 à Lyme, dans le Connecticut (USA), puis dans d’autres états américains. Cette affection se développe terriblement en Europe depuis quelques années. Le problème réside dans le fait que les symptômes sont paradoxaux, ce qui fait que, souvent, le malade n’est pas pris au sérieux. De plus, ces symptômes peuvent varier considérablement d’un malade à l’autre.
- Algies arthritiques locales ou généralisées,
- Erythème chronique et migratoire,
- Etats dépressifs,
- Fibromyalgie,
- Inflammation destructive du tissu cardiaque,
- Lupus,
- Maladie d’Alzheimer,
- Maladie de Crohn,
- Méningo-encéphalite,
- Neuropathies diverses,
- Syndrome de l’intestin irritable,
- Syndrome de la fatigue chronique,
- Sclérose multiple,
- Troubles de la mémoire,
- Troubles divers indéfinissables.
Développement de la maladie de Lyme
Il est à noter que la maladie de Lyme se développe en deux phases : l’incubation, allant de plusieurs semaines à quelques années, puis des poussées aux intersaisons, aux anniversaires des piqûres, et même lors de grosses contrariétés.
Les troubles sont accompagnés d’une augmentation de la vitesse de sédimentation, mais les tests classiques de la médecine officielle ne décèlent rien.
Aux Etats- Unis, 1,8 million de cas ont été détectés, mais les experts considèrent que ce chiffre ne représente que 10 % de la réalité, en raison du défaut d’identification de la maladie, ce qui porterait le nombre de sujets atteints(qui s’ignorent souvent) à 18 millions.
Curieusement, l’on détecte actuellement de nombreux cas de maladie de Lyme, dont l’origine remonte à 15 ans et plus, et qui ont stagné silencieusement sous une forme enkystée depuis, avant de se manifester.
L’infection est souvent sans symptôme mais peut dans certains cas entrainer une maladie parfois invalidante (douleurs articulaires durables, paralysie partielle des membres…).
Comment cela commence ?
Là, elle peut à loisir se gorger de votre sang jusqu’à ce que vous vous aperceviez éventuellement qu’une petite boule émerge de votre peau.
Rappelez-vous qu’il existe en pharmacie des kits de « démonte-tiques », sorte de mini pied-de-biche avec lequel on dévisse la tique dans le sens anti horaire. (Il ne faut pas l’arracher, la tête étant verrouillée restera.)
Une autre méthode consiste à mettre du savon de Marseille liquide sur la tique qui sortira toute seule ne pouvant plus respirer.
En tout état de cause, à chaque retour de promenade, bien explorer la surface de la peau, surtout celle qui n’était pas protégée par les vêtements. A noter qu’il faut éviter d’appuyer sur le ventre du parasite rempli de votre sang, car cela le ferait régurgiter dans votre système sanguin avec l’éventuel Borrélia si la tique est infestée.
Il convient toujours de désinfecter l’endroit avec une huile essentielle telle que la Giroflé par exemple.
En principe, l’infestation peut se manifester dans les 3 à 30 jours par l’apparition d’un érythème migrant (rougeur ronde qui grandit), ce qui donne lieu à une alerte que l’on pouvait traiter précédemment in situ au « tic tox », une composition spécifique d’huiles essentielles, jusqu’à ce qu’il soit curieusement interdit – mais dans 50% des cas il peut hélas n’y avoir aucune manifestation visible.
Tests d’identification et différentes variétés de maladie de Lyme
Pour lever le doute, il existe un pré-test français 0 positif – 0 négatif qui coûte 29 €, mais qui n’est fiable qu’à 30 % car il n’est pas suffisamment spécifique. Ce pré-test est un passage obligé pour accéder au test Western Blott qui est plus fiable (quoi que…) et qui coûte 48 €.
Le burgdorferi (américain) – qui entraîne des inflammations musculaires et articulaires très douloureuses amenant progressivement au fauteuil roulant. - Le garinii (européen) – neurotoxique qui amène des maladies neurologiques diverses, par exemple au niveau optique ou auditif.
- L’afzelii (asiatique) – qui donne des manifestations cutanées tardives
- Le lusitiana (Portugal).
- Le japonica (Japon)…
Le Borrelia peut se manifester sous 3 formes principales : SPIRALÉE, en L, ou KYSTIQUE, et passer de l’une à l’autre forme selon ses besoins stratégiques de survie.
La maladie de Lyme est d’autant plus complexe à identifier qu’elle peut donner lieu à plus de 300 symptômes plus ou moins aléatoires d’ordre physique et psychiques, et allant en s’aggravant avec le temps, jusqu’à devenir dramatiques, tels que douleurs arthritiques paralysantes, fibromyalgie, myocardites avec troubles rythmiques graves, dépression et confusion mentale, fatigue chronique, etc., ceci se manifestant toujours par poussées.
Les traitements classiques
La plupart des traitements officiellement proposés sont des antibiotiques et des corticoïdes ; ils sont décevants, inefficaces et même dangereux puisqu’ils ne font que faire retrancher le parasite dans des organes de plus en plus profonds et de plus en plus vitaux (souvent le cœur) sans jamais l’éliminer.
En effet, tous les médicaments du type stéroïde, corticoïde ou immuno-suppressifs sont contre-indiqués ; tous les médicaments immuno-dépressifs sont à proscrire.
NOTA : Rappelez-vous que la médecine est tenue des moyens mais pas des résultats !
Stratégie d’attaque symptomatique
Généralement, ce sont les organes les plus faibles qui sont atteints en premier lieu. La première chose à faire est d’éliminer un maximum de toxines, ce qui aboutit à faire régresser rapidement les symptômes les plus pénibles.
Donc, premier geste : CHARBON ACTIVÉ : 1 cuil. à soupe matin et soir dans de l’eau froide jusqu’à résolution de la poussée. (Boire beaucoup d’eau car le charbon a tendance à dessécher l’intestin.) Le charbon crée en plus une barrière au niveau intestinal dans le trajet migratoire classique du Borrelia : tissus graisseux – bile – sang – nerfs. Il faudra réitérer la cure de neutralisation des toxines à chaque fois que des poussées se manifesteront.
Mais attention, se rappeler que le charbon absorbe les médicamentations éventuelles…et la pilule !
Protocole curatif : le Sanchlor
- Mettre dans un verre 1 goutte de chlorite de sodium et ajouter 5 gouttes de jus de Citron pressé pour transformer le chlorite en dioxyde de chlore ionique. (ClO²–)
- La réaction demande 3 minutes à sec, puis ajouter de l’eau (non javellisée). Boire aussitôt. On peut ajouter du jus de fruit pour le goût.
- Faire cela matin et soir
- Chaque jour, ajouter une goutte de chlorite de sodium et 5 gouttes de citron par goutte de chlorite – ex : 10 gouttes de citron pour 2 gouttes de chlorite… 15 gouttes pour 3 gouttes, etc
- Monter progressivement selon la tolérance à 12 gouttes matin et soir, et continuer 15 jours avant de redescendre à 6 gouttes sur plusieurs mois si nécessaire et surtout jusqu’à cessation des troubles.
- Si une nausée se fait sentir, ne pas attendre les vomissements et la diarrhée – baissez le dosage et bloquez tout par un petit verre de bicarbonate de soude (25 g par demi-litre d’eau à avoir sous le coude).
- Puis reprendre prudemment l’augmentation ou en rester au dernier dosage selon votre ressenti. Noter que les réactions possibles sont plus désagréables que dangereuses.
Autre protocole
Il existe une autre méthode pour gagner du temps dans l’activation, au lieu de citron on utilise un activateur fournit dans un kit, soit de l’acide citrique à 50% soit de l’acide chlorhydrique à 4%. C’est moins naturel mais beaucoup plus pratique car on divise par 6 le temps d’activation.
Mettre dans un verre vide une goutte de chlorite de sodium et une goutte d’acide citrique 50% (Kit Sanchlor) ou d’acide chlorhydrique 4% (Kit chlorite de sodium), agiter le verre pour faire en sorte que les deux gouttes sont en contact et se mélangent.
Attendre 20-30 secondes que la réaction se fasse, remplir le verre d’eau ou de jus de fruit et boire immédiatement. Ne pas attendre plus de 30 secondes sinon le gaz s’évapore et l’action devient nulle.
- Kit Sanchlor (acide citrique) :
- Cde : https://apoticaria.com/products/kit-sanchlor-100ml?ref=4
- Kit chlorite de sodium (acide chlorhydrique) :
- Cde : https://apoticaria.com/products/kit-chlorite-de-sodium-acide-chlorhydrique-100ml?ref=4
Et aussi, le Feralen
Si l’on veut éviter la forte odeur de chlore qui se dégage du verre ou si l’on veut aider les proches qui ne sont pas trop ouverts à l’idée de prendre un produit à usage sanitaire détourné, le Feralen peut constituer une excellente alternative.
Il est constitué d’un radis oriental rustique, non traité et non muté, le Cochlearia rusticana, utilisé traditionnellement pour renforcer le système immunitaire. Ce radis est très riche en peroxydases, et surtout en catalase qui est une enzyme antioxydante permettant d’éliminer dans les tissus le peroxyde d’hydrogène (H2O2) résiduel, en le transformant en dioxygène (O2) et en eau (H2O), ce qui provoque dans l’organisme une libération d’oxygène stabilisé.
Son action est donc très proche de celle du Sanchlor, l’avantage étant qu’il est proposé sous forme de gélules et l’on évite le goût de chlore dans la bouche.
Cde : https://apoticaria.com/products/feralen?ref=4
Pour en savoir plus :
Prenez en main votre santé – tome 3
de Michel Dogna, aux Éditions Guy Trédaniel
Tome 3, Innovation majeures
Bonjour monsieur Dogna,
Merci pour ces détails. J’ai commencé le protocole avec le Sanchlor (activé par le citron) contre la maladie de Lyme depuis 3 jours, en plus de la TM de Cardère et un mélange HE. Je prends le charbon au coucher, 2 heures après le Sanchelor.
Je ne sens pas vraiment d’effets secondaires pour le moment.
J’ai une question, y’a t’il un régime alimentaire recommandé pour éviter l’acidité gastrique ? Sans alcool, sans lactose, sans sucre ???
Merci de ces précisions.
IL Y A + DE 30 ANS ..
MERCI MICHEL POUR TOUTES SES INFOS …. JE PENSE SOUVENT A TOI MON PREMIER COURS EN ENERGIE CE FUT AVEC TOI A PARIS … MERCI GHISLAINE B A VERSAILLES