Dynamisez votre organisme, avec l’amaroli, en buvant l’eau de Shiva

Aimeriez-vous boire le « nectar de l’immortalité » du Dieu indien Shiva ? Cette eau miraculeuse est décrite dans un très ancien livre datant de 3000 ans avant notre ère, le Damar Tantra, qui regroupe plus de cent vers consacrés à cette boisson exceptionnelle. Ces vers sont un dialogue entre le dieu Shiva et son épouse Parvati lui décrivant cette science que nous appelons Amaroli.

Shiva explique à sa femme comment, en buvant ce nectar tous les jours, on finit par se guérir de tous les maux et l’on peut atteindre l’éveil spirituel. Boire ce liquide a un nom : le Shivambu Kalpa, ou l’amaroli. Une technique qui consiste à boire une partie de son urine pour être en bonne santé et pour se soigner le corps et l’esprit…

Cette eau merveilleuse, c’est vous

« Seulement les ignorants se laissent tromper à l’idée que l’urine et impure et contaminée ». Ce sont les mots de Shiva à son épouse. Et c’est vrai que tout le monde pense que l’urine est pleine de déchets du corps et que, si on les élimine, c’est que le corps n’en a pas besoin. Attention, ne confondez pas tout !

Les matières fécales sont des déchets, alors que l’urine est une substance riche en nutriments et en vitamines. L’urine est un « sous-produit » du filtrage du sang et non pas le « résidu » de ce filtrage. Sa dénomination médicale est « ultrafiltré plasmatique ».

Les reins sont en fait le filtre le plus complexe, le plus développé et le plus sophistiqué qui soit. L’urine qui en sort est ce qu’il reste une fois que le sang a été filtré par les reins dont le rôle est de réguler les composants du sang. Trop de vitamines, hop dans les urines ! C’est ainsi que le corps se débarrasse des nutriments dont il n’a pas besoin : des vitamines, des acides aminés, des enzymes, des neurotransmetteurs, de l’insuline, des minéraux et des hormones, mais aussi des protéines, des anticorps, de la créatinine bien sûr, et même de la DHEA…

En fait l’urine est un marqueur fiable de votre fonctionnement biologique. Une photo, à l’instant T, de votre état de santé. Un laboratoire d’analyse en tirerait une foule d’informations, mais ça ne serait rien en comparaison de ce que votre propre organisme peut y lire. Cette eau miraculeuse, c’est le résumé de vous.

Les fœtus se développent dans leur urine

Le Dr. Beatrice Bartnett dévoile dans son étude « Urine Therapy – It May Save Your Life » que nous avons bu de l’urine tout au long de la gestation, parce que l’urine est le fluide principal du fluide amniotique. Ce liquide amniotique dans lequel nage le bébé avant sa naissance, est principalement constitué d’urée qui vient de l’urine du fœtus lui-même. Cela assure la croissance et la protection du bébé, ainsi qu’une bonne cicatrisation de toute plaie à l’intérieur de l’utérus.

Boire du pipi ? Mais c’est dégoûtant !

L’idée peut sembler répugnante évidemment. Pourtant, s’il faut bien admettre que le goût de l’urine n’est pas précisément un nectar, on peut la boire sans que cela soit une torture. Certains mélangent leur urine avec un jus de fruit pour que ça passe mieux. Mais cela n’est pas nécessaire.

Il n’en reste pas moins que la meilleure urine pour la santé est celle du matin, pas le tout premier jet… qui a stagné longtemps hors de la vessie, mais plutôt le second. Pour les puristes de l’urinothérapie, en tout cas, c’est l’urine non diluée qu’il faut consommer.

La couleur jaune de l’urine a des propriétés salutaires

A la fin des années quatre-vingt, les Docteurs Glazer et Stocker, de l’Université de Californie ont découvert que le colorant jaune de l’urine, longtemps considéré comme un déchet corporel sans valeur, semblait avoir une fonction salutaire dans la diminution des dommages causés par le vieillissement, l’inflammation et les maladies cardiovasculaires.

En outre, leurs recherches sur la bilirubine, le pigment qui colore votre urine en jaune, les ont amenés à la conclusion qu’il faudrait développer les études sur son rôle salutaire, et plus particulièrement en matière de diminution des dommages des tissus dans le cancer.

Qui sont ces fous qui boivent leur urine ?

C’est en Asie que le Shivambu est le plus répandu. En Inde évidemment où il serait pratiqué par plusieurs millions d’individus. Mais selon Xinhua, l’agence de presse officielle de la Chine, plus de trois millions de Chinois boivent aussi leur urine.

Un article du Courrier International de décembre 1992, affirmait que l’urinothérapie comptait alors déjà plus de deux millions d’adeptes au Japon et, selon l’Indian Express de Bombay d’octobre 1992, la mode de l’urinothérapie a ensuite gagné Hong-Kong et Taïwan où plus de 200 000 personnes boivent chaque jour leur urine. Ces chiffres datent, mais on imagine donc facilement qu’ils ont largement augmenté en 20 ans. Aujourd’hui le Shivambu est pratiqué aussi en Europe par un million d’individus aux Pays-Bas et cinq millions en Allemagne. L’engouement semble vouloir gagner l’Italie, l’Espagne et même la France.

Souvenez-vous des remèdes de nos grands-mères

L’urine est un produit secondaire stérile, qui résulte du filtrage du sang. Les anciens ne s’y trompaient pas. Ambroise Paré, père de la chirurgie moderne, recommandait l’urine pour désinfecter et cicatriser les plaies. Au temps de Pasteur, l’urine de jument entrait dans la composition de sérums et de vaccins.

Ne vous a-t-on jamais dit qu’il faut faire pipi sur une piqûre de méduse ou d’abeille ? Votre grand-mère ne vous a-t-elle jamais dit qu’on pouvait se faire des compresses d’urine sur les plaques d’eczéma, de psoriasis ou sur les plaies ? Nombreuses aussi sont les histoires de soldats perdus dans le désert, de marins blessés en mer ou d’alpinistes partis à la conquête des sommets qui ont bu leur urine pour survivre.

L’urine était aussi utilisée autrefois en usage externe pour faire briller les cheveux et blanchir les dents. La chanteuse américaine Kesha a récemment fait le buzz sur le Net en montrant comment elle se gargarisait avec son urine pour avoir un sourire éclatant.

Mais c’est bon pour quoi l’amaroli ou urinothérapie ?

La liste des substances contenues dans l’urine est longue, comme vous avez pu vous en rendre compte. L’urine agit par ses substances vivantes : enzymes, hormones, neurotransmetteurs, vitamines, anticorps, antibiotiques et autres médicaments naturels, par un processus d’auto-vaccination et de transmutations biologiques. Elle a des effets nettoyants et régénérateurs.

Système digestif :
Dans le système digestif, l’urée est transformée par les bactéries intestinales, ce qui la rend utilisable et absorbable. L’urée est toxique dans le sang, lorsqu’elle est en excès, mais dans l’intestin, elle joue un rôle purificateur. La majeure partie est transformée en glutamine, substance très précieuse pour les systèmes nerveux et musculaires.

Système rénal :
L’urine est un diurétique puissant qui stimule les reins. L’eau éliminée par les reins n’a plus besoin d’être évacuée par la transpiration qui, lorsque votre organisme est intoxiqué, est pleine de toxines et va irriter la peau et engendrer eczéma et troubles cutanées.

Système circulatoire :
L’urokinase, contenue dans l’urine, est un nettoyant souverain et un excellent fluidifiant du système circulatoire. C’est une enzyme précieuse en cas d’artériosclérose, de thrombose artérielle ou d’embolie pulmonaire.

Et aussi :
Dans l’urine, il y a aussi de la DHEA, un stéroïde sécrété par les glandes surrénales, dont les propriétés de régénération sont très connues. La DHEA stimule le développement de la moelle osseuse et accroit sa production de globules rouges. Elle est connue pour ses propriétés antivieillissement et pour son action contre l’obésité et l’anémie.
Il y a aussi de l’allantoïne dans l’urine, qui favorise la cicatrisation. Il y a également des hormones qui permettent de réguler un certain nombre de processus hormonaux.

Pourquoi les autorités n’ont-elles jamais fait de recherches sur l’amaroli ?

Malheureusement, peu d’études existent sur les vertus thérapeutiques de l’amaroli et cela, probablement en raison d’intérêts pharmaceutiques. L’urine est gratuite, disponible à tous et à tout moment et n’a pas d’effets secondaires.

Les laboratoires préfèrent la vendre, sans dire ce que c’est. Pendant des années, les pays qui produisaient de l’urokinase, à base d’urine humaine, se sont fait énormément d’argent avec cette substance très utile pour dissoudre les caillots de sang. Parallèlement d’autres produits à base d’urée (synthétique) sont fabriqués par différentes multinationales pharmaceutiques qui en retirent d’énormes bénéfices qui se comptent en millions de dollars par an.

Comment ça marche ? Comme une sauvegarde d’ordinateur

On sait que l’analyse d’urine permet une lecture très fiable de l’état interne d’un organisme. Toutes les informations biochimiques, bioélectroniques et vibratoires de notre organisme sont contenues dans notre urine. C’est une mémoire fidèle et un bilan précis de toute notre histoire biologique et physiologique. Cette eau qui sort du corps, garde avec elle une partie des informations essentielles sous forme de produits du métabolisme. Si les animaux se servent de l’urine comme d’un moyen d’identification aussi précis qu’une empreinte de doigts, c’est bien qu’elle contient des informations essentielles.

En réintroduisant l’eau du corps par voie orale, on déclenche des capteurs d’information dès la bouche qui induisent dans le corps une réponse adaptée. C’est comme si on se réinformait sur soi-même. L’amaroli permettrait donc une seconde lecture des informations contenues dans l’eau du corps et, comme s’il s’agissait d’une réinitialisation de l’organisme et de l’esprit.

L’amaroli en version homéopathique : l’isothérapie urinaire

Assez proche de l’amaroli, l’isothérapie urinaire consiste à utiliser votre urine diluée et consommée comme de l’homéopathie, à petite dose. Considérée comme une méthode de décontamination profonde et de reprogrammation énergétique, elle efface les miasmes des vieilles maladies mal réglées et les séquelles des vaccinations. Elle nettoie l’organisme de tous les poisons chimiques et médicamenteux et relance les défenses immunitaires affaiblies. C’est également un agent déstressant qui désamorce efficacement les processus de somatisation.

Quelques précautions nécessaires avant de vous lancer

  • L’amaroli ne doit pas être pratiquée lorsqu’on souffre d’infection urinaire.
  • Votre alimentation du soir doit être légère, de type « régime crétois » ou à tendance végétarienne afin d’alléger le goût.
  • Limitez les protéines animales, surtout les viandes rouges, les gras saturés, la junk food, les charcuteries, les viennoiseries, le thé noir, le café et le chocolat.
  • Revenez aux vraies valeurs, mangez naturel, mangez « terroir », en tout cas le moins transformé possible, évitez le sucre raffiné, la farine blanche et les conserves.
  • Si le réflexe de rejet à l’idée de boire de l’urine est trop fort, mélangez-le à du jus de fruit ou de légume et pincez-vous le nez.
  • Rappelez-vous de choisir l’urine du matin, mais pas le premier jet, où se trouvent les bactéries. Urinez d’abord un peu, puis gardez le deuxième jet pour votre consommation.

Pour bon nombre de gens, le blocage psychologique persiste. Pas facile de se retrouver le matin avec son verre d’urine à avaler, surtout quand on continue à croire que l’urine n’est qu’un déchet toxique. Pourtant, la vérité qui semble être mise en avant par ceux qui pratiquent l’amaroli, est qu’il s’agit d’une panacée universelle, ayant des vertus guérisseuses et régénératrices presque miraculeuses, qui permettent son utilisation avec succès dans le cas de toutes les maladies connues.

A vous de voir.

Caroline Morel

Note :

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Energie-Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé.

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Commentaires (8)
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  • Kagnoupessi Notcheu Henri

    j’ai découverts cette pratique il ya pratiquement 10ans par mon grand frère. je pu vous assurer que Amaroli est vraiment une eau de vie. En plus elle nous met en relation direct avec notre nature créatrice. né dans un pays ou on croix beaucoup à la sorcellerie et qui existe d’ailleurs, Amaroli m’a permi de m’éléver spirituellement et maintenant je ne crains rien. Le stress n’existe plus chez moi. en plus c’est une fçon de se soigner gratuitement. Je suis contend de savoir que dans la monde il y a aussi ceux dont la médecine allopathique n’a pas fermé les yeux.

  • institut-katharos.com

    Bonjour,
    Ce produit peut-il guérir l’infection urinaire. Merci pour cet article

  • Chonville

    Bonjour,

    J’ai découvert Amarolli alors que je souffrais gravement d’une hyperthiroïdie (pouls à 160 au repos) mon premier mois de médicament a rétabli un rythme cardiaque normal mais je ne dormais plus (maxi 2 heures par nuit)
    Quand j’ai commencé Amarolli, d’une cuillère à soupe jusqu’à 3 verres par jour une fois habituée, mes résultats sanguins (prise de sang tous les 15 jours) se sont améliorés de façon spectaculaire. En 3 mois, tout était revenu à la normale. Le docteur qui me suivait, en voyant les résultats et leur origine, m’a dit : « je suis sur le cul! » ça fait trois ans que je suis en « rémission ».
    Depuis, j’ai l’habitude de boire Amarolli tous les matins. J’avais de l’arthrose aux pouces, aux machoires, une peau très sèche, tout ça est parti.
    Je me suis ébouillantée la semaine dernière avec une grosse tasse de café bouillant. J’ai fait des compresses d’Amarolli changées toutes les deux heures. La douleur a disparu en 1 heure de temps, et je n’ai eu que trois minuscules cloques, même si toute ma cuisse a été touchée.
    La première fois que j’ai testé Amarolli, j’en ai d’abord mis sur ma peau, comme lotion, et j’ai pleuré : je venais de réaliser que mon corps était mon ami et que j’avais en moi, gratuitement, naturellement, toujours disponible, tous les moyens de me guérir.
    Avec un régime végétarien, l’urine a un goût très doux, comme une tisane. J’ai remarqué qu’elle était amère les lendemains d’un jour où j’avais beaucoup stressé.
    Mon mari suit un traitement pour l’hypertension. Il boit son urine et n’utilise que la moitié de son cachet quotidien, et ça lui va bien. Cependant, je confirme qu’il faut être très prudent si vous prenez des médicaments.
    Le livre qui m’a aidée à me lancer : »L’elixir de vie de Van der Kroon
    Bon courage!

  • Tekla

    Bonsoir,
    Il est conseillé d’être prudent lorsque l’on prend un traitement médicamenteux : les médicaments étant éliminés dans les urines, il ne serait pas judicieux de prendre « double dose » en buvant ce qui est éliminé. Dans le livre de Coen Van der Kroon, l’élixir de vie : « Si vous prenez des médicaments allopathiques quels qu’ils soient, ne recourez à l’urine qu’en usage externe (massages) jusqu’à ce qu’il vous soit possible de renoncer aux médicaments. » Il est possible aussi, dans une telle situation, d’avoir recours à la préparation « homéopathique » de l’urine. Si vous ne trouvez pas la « recette » pour cette préparation, vous pouvez me demander….
    Salutations cordiales,
    Namasté,

    • Katy

      Bonjour,
      Je serai intéressée par la recette homéopathique.
      Merci
      Katy

  • Constance

    Bonjour,
    Monsieur Busch n’a rien inventé. Amaroli ou l’urinothérapie existe depuis bien longtemps en France. A votre santé !

  • daupley

    Bonjour, j’ai une thyroidite d’ashimoto, avec petit nodule. Je suis sous levothyrox en gouttes 17 le matin. L’aromathérapie, est t’elle conseillée? merci.

  • Hélène

    Bonjour
    Peut-on boire son urine quand on est sous traitement pour des métastases osseuses (Clastoban et Aromasine) suite à un cancer du sein.
    Merci