Dans l’Ancien Testament il est écrit, que c’est Eve qui donne le prénom à Caïn. Puis elle remet l’enfant à Adam pour qu’il lui transmette le Nom. Votre nom est ce qui vous relie à vos racines, à l’histoire de votre famille, « c’est ce qui manifeste » votre appartenance à un clan. Le nom réunit à lui seul les valeurs de la famille, l’héritage, la pérennité. Le nom est révélateur de secret, de mémoires, de réussite. Le prénom est le remède, la magie de l’Âme et du cœur.
Nos racines
Grâce à cette étude nous allons retrouver exactement les mêmes « messages » que nous transmet notre ADN mais ils seront vécus sur le plan émotionnel. Un petit enfant viendra dans un arbre en remède, aux problématiques émotionnelles vécues par les grands-parents, et qui non pu être mis en mots. Toutes ces demandes sont inconscientes et ce sont ces blessures de cœur qui programme le futur d’un nouvel être ainsi que tout ce qu’homme et femme (futur couple parental) vont vivre, consciemment mais surtout inconsciemment, pendant les 18 mois précédant la naissance.
Pour démêler l’écheveau de vos arbres je me base sur l’étymologie de prénoms, noms, métiers et autres accessoires vestimentaires. Si un prénom peut s’écrire, se prononcer de différentes façons selon les pays où nous nous trouvons, l’étymologie, elle ne change pas. Les prénoms Margaux, Sheila ou encore Daisy sont tous des dérivés de Marguerite et bien l’essence sera toujours la même ce qui changera sera en relation directe avec l’histoire de l’arbre.
Ces maux qui ne peuvent être mis en mots
Ces prénoms, noms et autres métiers qui apparaissent dans une généalogie, sont les panneaux indicateurs de maux qui ne peuvent être mis en mots.
Durant la conférence je vais vous révéler quelques secrets que l’on peut deviner, découvrir pourquoi :
• des prénoms d’origine différente à l’ethnie de la famille apparaissent,
• un enfant choisira le nom de sa mère au détriment de celui de son père,
• des noms de famille peuvent avoir des orthographes différentes pour les membres d’un
même clan,
• l’apparition ou la disparition de métiers,
• donnons-nous des diminutifs ou des surnoms,
• vivons-nous des échecs alors qu’un frère ou une sœur seront auréolés de victoires et
d’honneur,
• notre corps peut réagir par un problème physique (maladie, accident, fractures etc.) quand
nous allons à l’encontre des demandes de la généalogie,
• mettre en lumière l’impact d’un manque de modèle, de rôle d’homme/père/papa ou
femme/mère/maman sur le devenir d’un futur adulte.
Cette façon de travailler sur soi n’a pour pas but de manquer de respect à qui que ce soit dans votre généalogie. C’est simplement un outil pour que nous puisions découvrir, redécouvrir LA MAGIE (L’ÂME AGIT) et que nous puissions vivre cette phrase :
Je suis née à Reims dans la Marne, d’une maman Sarde et d’un papa Marchigiano.
D’origine italienne, je me suis dés mon plus jeune âge posée des questions sur mon prénom, qui je vous l’accorde, n’est pas commun. Et pendant de nombreuses années je me suis battue bec et ongles lorsque l’on prononçait ou écrivait mal mon prénom et il en était de même avec mon Nom … Mazzolini a souvent était pris pour Mussolini … Avec la mémoire sur ce nom vous comprenez que je ne pouvais pas accepter que mon nom de famille soit comparé à ce dernier.
Je vis actuellement dans le sud de la France non loin de la Méditerranée, rivages qui plaisent à mon ADN mitochondriale, mes origines sardes.
Trois enfants et deux petits-enfants complètent mon paysage familial. Mon travail me mène à découvrir de nouvelles cultures, histoires, us et coutumes. Tous les pays que je parcoure à la recherche des diverses façons qu’une même étymologie d’un prénom peut se décliner dans d’autres langues.
Il me plait de comparer les diverses cultures en rapport avec les bijoux, tatouages ou autres piercings. J’ai la chance que mon métier éveille encore, chez moi, ce sentiment de curiosité et soif de savoir.
Vilma Mazzolini
Psycho-généalogiste, conférencière, enseignante-formatrice
vilma.mazzolini@gmail.com
www.acoeuracorps.net
Conférence, accessible en deux clics
Le vendredi 12 octobre 2012
à 14h00 (heure du Québec) et 20h00 (heure de Paris) – durée : env. 1h30
