Qu’est-ce que l’alimentation prânique ?
Selon les Upanishads – écritures anciennes de l’Inde –, le Prâna (terme sanskrit) est une énergie vitale universelle qui imprègne tout et que les êtres vivants absorbent par l’air qu’ils respirent. Voilà, tout serait donc déjà dit : l’alimentation prânique, c’est se nourrir de Prâna !
L’alimentation prânique,
ce n’est donc pas ne pas manger,
c’est bien plutôt manger du Prâna,
beaucoup de Prâna, en toute conscience.
L’inconscience humaine
Selon Reine Claire Lussier, pionnière de l’alimentation vivante au Québec (et ailleurs, car dans ce domaine les pionniers sont rares), la mécanique biologique maintient l’être humain dans un état d’inconscience. C’est-à-dire que n’étant pas « maître de sa matière », l’humain peut s’accommoder de vivre en mode réflexe sa vie durant. On sait que notre organisme opère principalement par automatismes, les systèmes nerveux sympathique et parasympathique étant responsables des fonctions essentielles du corps : digestion, pulsations cardiaques, respiration, etc.
Pour les adhérents à l’Âge du Verseau, l’humain est un être de lumière expérimentant la vie terrestre dans un corps de chair. À cette enseigne, son objectif est de maîtriser SA propre matière. C’est-à-dire spiritualiser son enveloppe physique à l’instar, peut-on dire, du créateur virtuose qui transmute littéralement la substance de son environnement : matériaux, sons, saveur, vibrations visuelles… en chef-d’œuvre!
Transformer son code biologique
Pour vivre de Prâna, il faut d’abord réussir à transformer son code biologique (les fonctions digestives à tout le moins) en code pranique (la capacité d’extraire sa vitalité, dans le sens littéral du terme, de l’air ambiant). Ce n’est quand même pas de la tarte ! Là aussi, il faut être… virtuose. Maintenant, vivre de Prâna n’équivaut pas, selon Reine Claire, à arrêter de manger.
C’est une conséquence possible. Hum, cette distinction a son importance, car la valeur de la démarche est transposée sur la conscience à acquérir vis-à-vis la nourriture, qu’elle soit dense avec les aliments physiques ou éthérée avec le Prâna, plutôt que sur le fait de ne plus manger. Le but recherché à travers l’alimentation prânique est donc de mettre de la conscience dans SA matière. Le chef-d’œuvre à réaliser, c’est soi-même !
À l’instar de certains yogis qui possèdent la maîtrise de leur respiration et peuvent conséquemment réaliser des prodiges : longévité inhabituelle, insensibilité à la douleur, don d’ubiquité, etc. les adeptes de l’alimentation prânique réalisent ce qui nous semble aussi un phénomène improbable : ne plus manger.
Est-ce vrai ?
Les adeptes de l’alimentation prânique sont désignés par les termes respirien, inédien ou pranien. S’ils ne sont pas légion, leur existence, même rarissime, s’impose à notre intérêt tel un formidable manifeste quant aux capacités de l’être humain.
L’histoire officielle, mais surtout officieuse, nous signale au-delà d’une vingtaine de cas hypothétiques. Parmi les plus référencés dans notre culture judéo-chrétienne, signalons la Française Marthe Robin qui a vécu sans nourriture pendant 50 ans et mourut en 1981 à 78 ans et Thérèse Neuman, cette allemande qui pendant près de 40 ans se nourrit exclusivement d’hosties humectées d’eau jusqu’à son décès à 69 ans.
Actuellement, un ascète Hindou du nom de Prahladbhai Maganlal Jani anime le débat : il s’alimenterait de Prâna depuis 69 ans. Il aurait aujourd’hui 81 ans. En 2003, ce dernier a accepté de participer à une étude scientifique menée à l’hôpital Sterling d’Ahmedabad (état du Gujarat, Inde), sous surveillance vidéo constante. Plus récemment, en avril 2010, le même ascète s’est soumis à une autre étude, et ce encore pendant une dizaine de jours sans manger ni boire. Si la science n’a pas voulu valider l’expérience, faute d’un protocole considéré inattaquable, ce type de démonstration « alimente » assurément l’énigme des respiriens.
Plus près de nous, d’autres personnes, apparemment saines de corps et d’esprit, jeunes et moins jeunes, confient leur cheminement d’exception sur Internet. Pour l’instant, il faut les croire sur parole. À cet égard, signalons l’athlète américain Jericho Sunfire, la française Isabelle Hercelin, le shaman Henri Monfort, Ellen Greve alias Jasmuheen, la plus connue et assurément la plus décriée des respiriens et enfin la québécoise Reine-Claire Lussier par qui nous avons été sensibilisée à ce type d’alimentation. Marie-France Bernard responsable à « Conférences Québec » présente ainsi ses récentes allocutions :
Se nourrir de Prâna, Mythe ou Réalité ?
« Tout être humain qui s’éveille à sa potentialité peut devenir autonome et s’affranchir des lois terrestres. C’est là le destin de l’humain : maîtriser totalement sa matière. Le corps humain est conçu pour vivre uniquement de l’énergie divine. » (Les Guides)
Reine-Claire a transformé sa mécanique biologique en mécanique pranique. En toute simplicité et transparence, elle nous livre son expérience de cette troublante mais fascinante déprogrammation cellulaire. En nous décrivant ses peurs, ses résistances, ses recommencements, sa constance à poursuivre son objectif de maîtriser sa matière humaine, elle nous apprivoise et nous invite sur un chemin nouveau : celui de dépasser sans cesse ses limites et de s’harmoniser avec l’appel de son âme.
Voir aussi le courageux livre de Reine-Claire et de son conjoint Gaal, Transparence II paru aux Éditions Ariane. Un journal de bord intime sur leurs aventures, si je peux me permettre, avec le Prâna. Dans cet article-ci, je m’inspire d’ailleurs largement de l’expérience de Reine-Claire.
Alimentation prânique, mode d’emploi
L’être humain s’alimente d’eau, de nourriture végétale et, selon le cas, de chair animale. Il se nourrit aussi de façon réflexe par tous les pores de sa peau grâce aux rayons du soleil et à l’air. Ce dernier élément également inhalé par ses poumons, une bonne dizaine de fois par minute. Ainsi, c’est d’abord l’air qui « nourrit » le corps de façon essentielle. Toutefois, pour la plupart des gens, manger renverra naturellement aux trois repas quotidiens. Alors, l’idée demeurera toujours : On mange sinon on ne mange pas. Ce n’est toutefois pas si simple.
Sur la base de certaines expériences partagées (on est quand même en pleine « terra incognita »), on apprend que le processus de transformation du code biologique vers le code pranique se déroule, habituellement, par étapes. Nous ne parlons pas ici de jeûner, car c’est une autre histoire.
Au sujet de la purification des corps physique, mental, émotionnel et spirituel par la maîtrise de l’alimentation, il semble qu’il y ait un parcours classique d’étapes, mais néanmoins toujours individualisé et personnel.
Carnivore-omnivore, Végétarien
(c’est moi qui ajoute ces étapes préliminaires potentielles)
végétalisme/frugivorisme – élimination des feuilles, tiges, racines et tubercules amène au - fruganisme – diminution drastique des fruits graines et de la majeure partie du cuit amène au
- fruitarisme/fructivorisme – élimination des fruits-graines comme les noix et les graines de tournesol (alimentation concentrée) amène au
- paradisianisme ou pulpivorisme ou fruitarisme/fructivorisme sans graines – phénomènes mystiques et/ou besoin de manger encore plus léger amène au
- liquidarisme – un passage difficile et inconfortable de 3 semaines à un mois en sevrage radical, ou bien progressivement en diminuant les repas jusqu’à ne plus prendre qu’un repas de jus de fruit par semaine sans perdre trop de poids amène à
- l’aquavorisme – curiosité et besoin de cohérence pousse à réduire aussi l’eau et amène au respirianisme
[…] Il est dit qu’il faut environ un an pour consolider chaque étape de ce parcours, au moins jusqu’à l’aquavorisme, pour se sevrer de tout aliment sauf l’eau, soit 5 ans.
Ça peut paraître un peu compliqué, mais on comprend l’idée générale : on ne passe pas du steak au poivre au respirianisme. Reine-Claire, quant à elle, parle de sa démarche avec simplicité. D’omnivore-carnivore gourmande à végétarienne (cette étape initiée au début de la trentaine), elle est passée à l’alimentation vivante inspirée par une guidance intérieure, développant peu à peu son intérêt et ses connaissances de ce régime, pour finalement commencer à intégrer l’alimentation prânique en l’an 2000.
Aujourd’hui son corps est ajusté à la mécanique pranique, elle peut ou non manger matériel à sa convenance. Elle confiera « partager » occasionnellement un repas avec son conjoint, au même titre qu’une autre activité comme aller au cinéma. Depuis 10 ans, elle s’est prêtée à beaucoup d’expériences de transmutation cellulaire et après quelques mois à se nourrir presque exclusivement de Prâna, elle a adopté de façon définitive le morceau de pain quotidien qu’elle ajoute à ses repas de Prâna, avec beaucoup d’eau.
L’importance du Prâna
Tout est constitué de Prâna : vous, moi, la planète et tout ce qu’elle contient. Alors, la pomme ou la pizza, ou encore la boîte qui la recouvre, c’est seulement une question de quantité de Prâna. Quand on parle d’assimilation, autrement dit de transmutation alimentaire, il faut se rappeler que les aliments cuits fournissent peu de Prâna. Ils sont dévitalisés.
Certains diront plus carrément, ils sont morts, car il ne reste aucun enzyme suite à leur cuisson au-delà de 104°F. Quant à manger du carton… Enzymes = Prâna ? Un peu, oui. L’alimentation vivante ayant conservé ses enzymes contient de ce fait plus de Prâna. C’est le Prâna qui véritablement nourrit notre organisme, que l’on soit conscient ou non de son action subtile.
L’alimentation prânique engage la conscience de l’action du Prâna et
son utilisation optimale dans notre organisme.
Lorsqu’on mange des aliments matériels, du plus dense au plus éthéré (viande, aliments cuits, aliments crus, liquides, eau), notre système digestif doit travailler en proportion afin d’en extraire le Prâna.
Nourrir les trois corps
Manger pranique touche directement les trois corps suivants : physique, émotionnel et mental. Curieusement, on s’attendrait à ce que ce soit le corps physique qui se rebelle. Eh bien non, Reine Claire souligne que ce sont nos émotions et notre mental qui font le plus sérieusement obstruction à cette démarche. Le corps, au contraire, serait ravi de notre décision, quand elle est vraiment prise.
En supposant qu’on désire s’initier à l’alimentation prânique, comment doit-on s’y prendre, en gros ?
Je précise bien EN GROS, car ce n’est surtout pas un mode d’emploi à l’aveugle… D’abord, lâcher prise à la performance. On n’y arrive pas avec son ego. Maintenir son régime alimentaire habituel. Si on aime la viande, on mangera de la viande. Si on est végétalien convaincu, on poursuivra sur cet élan. Même chose si on est un adepte de l’alimentation vivante.
On part d’où l’on est ; le Prâna fait le reste. C’est-à-dire ? La première et la plus importante chose à faire, en fait la seule, c’est d’intégrer la conscience que c’est le Prâna et seulement le Prâna contenu dans l’aliment ingéré qui nourrit. On intériorisera cette idée de « manger » du Prâna avant le repas. On peut bien sûr faire l’« exercice » plus souvent, tout le temps. C’est encore mieux, car plus on « assimilera » le concept, plus on expérimentera véritablement ses effets dans notre corps, lequel va commencer à nous parler… En clair, il va peu à peu nous donner le goût du Prâna et donc, si on parle de nourriture matérielle, d’une alimentation de plus en plus vivante. Parallèlement, et conséquemment, on aura moins d’élan, et finalement plus d’élan du tout, pour la nourriture cuite.
Éventuellement, constatant que notre corps se nourrit parfaitement de Prâna (attention, il y a des paramètres précis pour le vérifier), on décidera de ne plus manger de nourriture matérielle, car devenue superflue. La démarche, dans sa totalité, peut prendre un temps variable. On parle habituellement d’années. Mais comme le but, vous vous rappelez, n’est pas d’arrêter de manger, mais de mettre de la conscience dans notre matière, on suivra donc son bonhomme de chemin sans se soucier de la destination.
Dans le cadre de ses conférences, Reine-Claire propose quelques fois à la curiosité de son auditoire quelques trucs pour « déjouer la révolte de la matière » pendant la « difficile » période du sevrage. Là, c’est presque rigolo de voir comment le corps fonctionne à l’automatique. Mais bon, ce n’est pas le propos de cet article d’aller dans le détail du pratico-pratique. Je soulignerai cependant l’importance de l’eau à cette étape. Plusieurs litres (5-6) seraient requis en période de sevrage. L’eau est un remarquable véhicule (homéopathie) de l’information. Selon Reine-Claire, pas besoin d’appareils sophistiqués pour hausser ses fréquences. Il suffit de mettre notre eau de boisson (verre ou pichet) à hauteur du cœur et de formuler en conscience notre intention. On peut faire de même avec la nourriture, et ce en toute discrétion en mettant nos mains de chaque côté de notre assiette ou en inclinant le torse (ici c’est le chakra du cœur qui est sollicité) vers celle-ci.
Enfin, ceux qui sont sérieusement intéressés par la démarche de l’alimentation prânique seront bien avisés de se faire accompagner adéquatement sur ce chemin d’exception, potentiellement dangereux s’il est vécu dans l’ignorance de tous ses aboutissants.
Se nourrir de Prâna, ce n’est pas jeûner
L’un comme dans l’autre, le corps est en attente ou en panique et « gruge » dans la matière biologique. Les résultats peuvent être favorables si on sait contrôler l’expérience ou (c’est bien ça) mortels si ça dure trop longtemps. Par contre, quand on a vraiment transmuté son code biologique en code pranique, le corps a définitivement « compris » qu’il peut non seulement survivre, mais vivre de Prâna. Il a également admis que le Prâna vital peut être ingéré à partir de l’air ambiant. On est alors devenu un mutant, une mutante. Cool. On dirait de la science fiction.
Témoignage d’Henri Monfort qui vit depuis 17 ans sans absorber aucune nourriture solide. Loin d’être un défi, cette expérience relève d’une croissance de l’harmonie entre sa physiologie et l’énergie omniprésente dans l’univers, le prana, au point de pouvoir en être nourri et en parfaite santé.
Mais pourquoi arrêter de manger ? C’est si bon maman !
À partir du moment où j’accepte que je puisse effectivement modifier ma mécanique biologique et vivre de Prâna, je calme mon corps mental. Quand j’ai enfin vérifié dans ma chair que je peux vivre de Prâna, j’ai définitivement rassuré le corps mental. La mécanique pranique est installée. Mon corps physique, lui, sait dès le départ qu’il peut réaliser ce prodige. Par contre, personne ne peut m’enlever les mémoires agréables que j’associe au fait de manger. Eh oui, manger est un plaisir (surtout dans notre société) même s’il s’évalue inégalement sur l’échelle du bien-être selon les individus et le moment. Le corps émotif résiste à ce qu’il considère comme une abomination : ne plus manger.
Vivre de Prâna est donc une démarche extraordinaire qui ne rencontrera, éventuellement, la complicité des trois corps que très progressivement. Alors pourquoi se donnerait-on le défi inconcevable, pour la plupart, de ne plus manger ? Pour devenir le maître de sa matière, lancerait assurément une Reine-Claire triomphante ; pour goûter la légèreté intrinsèque d’un corps libéré des contingences de la digestion (un immense travail au quotidien), pour l’éclatant regain d’énergie qui s’en suit, pour la diminution de nos besoins en sommeil (un p’tit 4 heures de sommeil, super), pour l’expansion de nos facultés intellectuelles et parapsychiques et, plus pragmatiquement, pour épargner tout le temps et l’argent qui sont liés au fait de manger, au niveau individuel et, imaginez la merveille, au niveau planétaire…
Mettre du Prâna dans mon assiette et dans ma vie
En conclusion, si vous êtes comme moi, ben tiens, nous sommes les plus nombreux à cette étape, vous serez plutôt interpellés par le projet de mettre davantage de Prâna dans votre assiette, c’est-à-dire tout en continuant de manger. En premier lieu, en ce qui me concerne, à travers les bienfaits reconnus de l’alimentation vivante et aussi l’incorporation consciente du Prâna. Mon programme est simple. C’est d’ailleurs une des convictions que partage volontiers Reine Claire Lussier : plus c’est simple, plus c’est efficace ! Alors quoi ? Manger vivant en conscientisant l’importance du Prâna dans ma nourriture. Parallèlement, respirer le Prâna dans l’air ambiant, le plus souvent et particulièrement quand je suis en nature, en méditation, au lever et au coucher. Boire plus d’eau, une eau programmée par mes soins à ma fréquence lumineuse, celle de mon âme. Et puis laisser vivre tout ça dans mon corps, dans la Joie.
Voilà, j’espère que cette incursion sommaire dans le monde de l’alimentation prânique vous aura inspiré le meilleur pour votre cheminement personnel. Toutefois si jamais vous êtes de ceux qui sont interpellés plus radicalement par la démarche, n’hésitez pas à contacter des personnes ressources compétentes. Au Québec, Reine-Claire Lussier.
MISE EN GARDE : Cet article n’est pas une invitation à pratiquer l’alimentation prânique tous azimuts. Par contre, les personnes intéressées y trouveront des références pertinentes pour approfondir le sujet et contacter des ressources avisées.
Bon Prâna !
Pour en savoir plus
De la nourriture prânique à la plénitude du vide
de Gabriel Lesquoy – Inspire Editions
Pour une autre conscience, une autre liberté …
Comment développer une alimentation nourrissante sur tous les plans ainsi que permettre à notre individualité de se déployer pleinement ?
C’est ce à quoi s’est consacré l’auteur de ce livre, fruit de son expérience personnelle, de ses rencontres merveilleuses, illustrées par les apports scientifiques qui valident la possibilité d’une autonomie alimentaire en faveur de la nourriture lumière.
En effet, ces pages nous apprennent que bien plus que simplement manger pour survivre, il est possible à chacun de reculer les limites du moi égotique, afin de trouver l’équilibre, l’harmonie, le bonheur en étant pleinement nourri par la vie elle-même. Cette démarche nous invite à une meilleure connaissance de nous-mêmes, grâce au lâcher prise de tout mcontrôle névrotique et à l’acceptation inconditionnelle de qui nous sommes, grâce au pardon, grâce à un plus grand amour pour soi comme pour toute forme de Vie. C’est au travers de ce paradigme très novateur de la nourriture lumière qu’il est possible de participer à la pleine reconnexion de l’homme à sa dimension physique, mentale, émotionnelle et spirituelle. Alors la vibration du Coeur impulse l’émergence d’une individualité en pleine conscience. Ce livre propose des solutions claires et accessibles pour connaître la liberté et le bonheur en se nourrissant à l’infini de !’Energie Universelle de la Vie !
Gabriel Lesquoy est depuis toujours animé par le désir de mieux connaître le Mystère du Vivant chez l’homme. Infirmier D.E, coach, formateur et thérapeute, il expérimente la nourriture lumière depuis Juillet 2012. Au service de la Conscience, il est engagé dans l’accompagnement à la personne lors de conférences sur ce sujet et propose sa guidance en individuel ou en collectif lors de stages résidentiels. Son site : www.pranainspire.com
DTransparence ll – Le triangle de la Vie Consciente, Vivre de Prâna
de Reine-Claire et Gaal – Editions Ariane
Comment le prâna agit-il dans le corps humain ? Un bien grand mystère que Reine-Claire et Gaal tentent de percer depuis quelques années déjà. Ils nous livrent ici, avec la transparence qu’on leur connaît, le fruit de leurs expériences guidées, et ce, dans les trois domaines primordiaux de l’existence humaine : la nourriture, la sexualité et le sommeil. Ce livre est tel un phare ; il guide quiconque désire s’aventurer dans le vaste domaine de la mécanique pranique.
Vous pourrez suivre les auteurs au travers de leurs peurs, de leurs résistances, de leurs recommencements et, surtout, dans leur constance à poursuivre leur programme de vie : l’éveil de la conscience permettant la prise en charge de la survie du corps humain. L’ouverture du cœur énergétique, la maîtrise des corps émotionel et mental, la connaissance du théâtre émotif et de l’émotion pure, voilà les balises qu’ils ont placées sur notre route.
Peut-on survivre sans prendre de nourriture ni d’eau pendant des semaines, des années voire des décennies? La plupart des gens, scientifiques ou spécialistes répondront spontanément : c’est impossible ! Mais comment réagiront ces mêmes scientifiques et spécialistes lorsqu’ils seront confrontés aux preuves, rapports certifiés, interviews et expériences en laboratoire à l’appui, constatant que ce phénomène, parfois aussi désigné par «Respirianisme», existe ?
Le film est une enquête passionnante et intrigante autour du monde. Il explore non seulement la connaissance issue des traditions spirituelles asiatiques, mais dévoile aussi les derniers modèles d’explications tirés de la physique quantique.
Sans promouvoir le « Respirianisme », ce documentaire propose une vision alternative de nos besoins, bousculant la philosophie mécaniste-matérialiste dominante. Serait-il alors possible de vivre autrement ?
Pour se procurer le film Lumière : www.energie-sante.com – films
BOnjour je suis également allée au BreatharianWorld festival qui s’en tient tous les ans à Cocorre : très inspirant de rencontrer des respirions avec des parcours et dés origines très différents 🙂
Je découvre cette nourriture , pour ma part depuis 7 mois je me suis instaurée 1 jour de jeûne et je m’en porte très bien. Merci pour cette découverte de votre nourriture.
je suis intéressée par votre calendrier de stage.
Bonjour,
Simple question :
Que répondez vous quand on vous demande :
Pourquoi nous être humain, on ne devrait plus manger alors que certains animaux se mangent entre eux (ex : chats et la souris, le léopards et la gazelle etc) ou même les animaux végétariens ( la vache et l’herbe)
Ne prenez pas ça comme une attaque, je veux juste avoir votre avis.
Merci d’avance.
Bonjour Eaunature,
Il me semble que la réponse tient dans notre conception – personnelle – de ce qu’est l’évolution de l’Être…
Cordialement – Jean-Paul
Monsieur Monfort, je tenais à vous remercier pour cette petite vidéo. Grace à vous j’ai passé un cap de compréhension.
Il y a quelques années, j’ai découvert la nourriture prana par le film lumière et ai été poussé par mon âme à tenter l’expérience. La première tentative a été incroyable. Au bout du quatrième jours j’ai ressenti se déchirement de la membrane de l’égo qui emprisonne la cellule. Le cinquième jours j’ai senti comme des filaments brûlants au-dessus et dans mon corps. Le sixième jour, chaque fois que j’immobilisais mon corps, celui-ci prenait feu. Cela prenait cinq minutes pour que le feu démarré des pieds arrive à mon cerveau. Je n’ai plus fermé l’œil les quatre jours suivant. Ne comprenant pas ce qui m’arrivait et devenant irritable du fait du manque de sommeil, et de la pression de l’entourage familiale, j’ai repris la nourriture physique. Grace à votre vidéo je sais à présent que j’étais sur la bonne voie.
Mille merci.