L’isothérapie et la varroase des abeilles

L’isothérapie est un procédé thérapeutique qui utilise à dose atténuée, dans le but de traiter ou de prévenir un état pathologique, la substance même qui est la cause de la maladie.
Cette méthode est fréquemment employée – sur les troupeaux conduits en bio – comme alternative aux médicaments allopathiques.

Pourquoi avoir recours à une technique dérivée de l’homéopathie dans le traitement d’un parasite des abeilles ?

Selon les fondements de la biologie, deux techniques s’offrent à nous pour combattre une maladie microbienne ou virale ou un parasite :
  • isothérapieD’une part la destruction de la bactérie, du virus ou du parasite par un agent biologique ou chimique extérieur à l’organisme de l’être touché,
  • D’autre part, inciter l’organisme victime à faire en sorte que la survie de la bactérie, du virus ou du parasite y devienne difficile, voire impossible, c’est-à-dire à créer dans cet organisme une immunité spécifique.Jusqu’ici, dans le traitement classique de la varroase des abeilles, on a appliqué la première solution en utilisant l’APISTAN®, l’APIVAR®, le CLARTAN® la ROTENONE, le THYMOL, l’ACIDE OXALIQUE. Souvent cette technique conduit à la résistance du parasite à plus ou moins long terme., ce qui va constamment nécessiter une course contre la montre avec l’envahisseur. De plus les moyens de plus en plus toxiques mis en œuvre vont contribuer à diminuer lentement mais sûrement l’autodéfense des abeilles.

Par contre ne pourrait-on pas concevoir « d’entraîner » l’animal cible à lutter lui-même efficacement et à repousser voire à détruire la bactérie ou le parasite grâce à une immunité stimulée dans ce sens ? Ceci est le principe utilisé dans la vaccination humaine et animale.
Ce n’est pas un hasard si en faculté de médecine la parasitologie et l’immunologie sont groupées dans un même service.

isothérapie
Varroase des abeilles

Mon expérience de 28 ans à la tête du service de recherches d’un laboratoire homéopathique m’a amené à pratiquer ou à collaborer à de nombreuses expériences dans cette dernière optique. Bien des fermiers et des éleveurs belges tournés vers les méthodes d’agrobiologie ont pu vérifier l’efficacité de l’application de ce concept tant sur les végétaux que sur les animaux.

A priori, on aurait pu penser à l’origine que les végétaux ne disposassent pas d’un système immunitaire tel que celui fonctionnant chez les animaux. Et pourtant, toutes les expériences que nous avons menées tendaient à prouver qu’il existe bel et bien une forme particulière de mécanisme de défense immunitaire « végétale » (ceci est aujourd’hui démontré en biologie végétale classique).

Mise en œuvre de trois techniques de médecines naturelle, simultanément

Pourquoi ne pas mettre à profit simultanément l’application de trois techniques de médecine naturelle en apiculture ?
Très tôt, au cours de ces 28 ans de cheminement dans la richesse de la connaissance de l’homéopathie, de la phytothérapie et de l’oligothérapie, j’ai pu appréhender avec tellement de satisfaction les avantages que le monde végétal, humain et animal pourraient tirer de cette connaissance. Souvent combattu par des ignorants ou par ceux qui se délivrent les titres de détenteurs d’une sorte d’omniscience, je n’ai jamais laissé tomber les bras. Le charlatan n’est-il pas celui qui prétend dominer une matière qu’il ne maîtrise pas ?

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Abeille infectée de varroases

Depuis l’âge de 6 ans dans le rucher, à l’ombre de mon père, j’ai pu découvrir, observer et tenter de comprendre le monde des abeilles. J’ai aussi appris à le respecter et à l’aimer passionnément.

Aujourd’hui, avec un recul de 15 ans de lutte contre la varroase, je pense qu’une méthode vraiment biologique, c’est-à-dire basée sur l’action en synergie avec les mécanismes immunitaires de l’abeille existe et fonctionne parfaitement.

Nous allons donc utiliser à la fois l’isothérapie, la phytothérapie (thym) et l’oligothérapie (oligo-éléments).

Qu’est-ce que l’isothérapie ?

L’homéopathie (décrite et codifiée par le Docteur Samuel Hahnemann et par ses successeurs) est l’application de la théorie des semblables ; en d’autres termes, elle permet de soigner une maladie dont les symptômes observés sur le malade concordent au mieux avec des symptômes provoqués par un médicament donné sur des individus sains. C’est ce que l’on appelle la technique des semblables (similia simillibus curentur). Cette technique fait appel aux « dynamisations », c’est-à-dire aux dilutions successives accompagnées de succussions.

homéopatbhieIl existe deux procédures principales de préparations des dynamisations : les dynamisations hahnemanniennes d’une part et les dynamisations korsakoviennes d’autre part.

Les dynamisations hahnemanniennes sont des dilutions réalisées de dixième en dixième (selon la pharmacopée homéopathique allemande) ou de centième en centième (selon la pharmacopée homéopathique française). On utilise un flacon différent pour réaliser chaque dilution.

Les dynamisations korsakoviennes se font toutes dans le même flacon (excepté au début et à la fin de l’opération). Le médecin russe Korsakov travaillait sur des champs de bataille et a simplifié la méthode dite hahnemanienne pour pouvoir soigner un maximum de gens avec un minimum de flacons et en un minimum de temps. Samuel Hahnemann lui même fut mis au courant de la méthode de Korsakov, la testa et écrivit qu’elle était aussi efficace que sa propre technique de dynamisations.

L’isothérapie (aussi appelée parfois isopathie) fait appel à la notion d’identité. En somme, une personne, un animal ou une plante victime de l’action toxique d’un produit ou d’un microbe ou d’une moisissure ou encore d’un parasite peuvent être rétablis dans leur intégrité grâce à l’administration de la substance causale en dynamisation korsakovienne 200 K.
Il ne s’agit plus de l’utilisation d’un semblable, mais de l’identique.

Hippocrate (450 Avant Jésus Christ) avait écrit : « Toute substance capable de provoquer une maladie qui n’est pas, est capable de guérir cette maladie lorsqu’elle est ». Malheureusement, les deux incendies successifs de la Bibliothèque d’Alexandrie ont fait disparaître une grande partie des écrits d’Hippocrate et le processus d’application pratique de ce principe a également été perdu. Mais grâce aux dilutions-dynamisations homéopathiques 200 K, nous pouvons aboutir au résultat proclamé par Hippocrate.

Pourquoi et comment préparer ses isothérapiques soi-même ?

La plupart des laboratoires homéopathiques, dans beaucoup de pays d’Europe, refusent de préparer des dilutions isothérapiques. Nous estimons donc de notre devoir d’expliquer ici à tout un chacun la manière de préparer un isothérapique en 200 K. Cette préparation n’a rien de difficile et tout comme le Dr. Korsakov qui préparait ses dynamisations sur les champs de bataille, n’importe qui peut fabriquer la 200 K d’une substance dans sa cuisine ou même au jardin à condition de respecter certaines règles très simples de bonne pratique.

Préparation d’un médicament isothérapique en 200 K

Matériel nécessaire :
  • isothérapie
    Inventaire en images du matériel nécessaire

    4 flacons compte-gouttes neufs et secs de 10 ml (flacons homéopathiques avec insert compte-gouttes),

  • 1 Seringue graduée jetable neuve en plastique (P.E.T.) de 10 ml,
  • 50 ml d’éthanol pur 94° (alcool bon goût non dénaturé),
  • (pour préparer de l’éthanol à 20°, on prélève 2,2 ml d’éthanol à 94° et on y ajoute 7,8 ml d’eau pure)
  • éventuellement un flacon neuf et sec de 250 ml,
  • 50 ml de mélange de glycérine pure, d’éthanol pur à 94 ° (sans agent de dénaturation), d’eau pure (1 :1 :1 en volumes),
  • 1 tube en plastic (P.E.T.) non siliconé et ne contenant pas d’additif de plus ou moins 12 ml (tube à prélèvement généralement utilisé en médecine vétérinaire) avec bouchon inséré en plastic,
  • 3 litres d’eau pure non chlorée, non traitée et très peu minéralisée (p.exemple eau d’épurateur AQUATHIN ou eau de SPA-Reine ou Eau du Mont Roucous ou eau Montcalm (Pyrrénées).

Mode opératoire :
On étalonne le tube en plastic en y versant 10 ml d’eau pure au moyen de la seringue graduée. On fait un trait de scie de repère au niveau de 10 ml. Le tube est ainsi jaugé à 10 ml.

Préparation de la dilution de départ :
  • On évalue la quantité de substance à mettre en œuvre en fonction de la nature de la substance (ici des varroas femelles d’abeilles (Varroa Jacobsoni) :
  • On recueille dans un petit flacon en verre de 10 ml des varroas femelles dont on peut évaluer le poids individuel à environ 1 mg (20 varroas = < 20 mg).
  • Ces 20 varroas femelles seront si possible, prélevés (même morts récemment) dans plusieurs ruchers ayant subi des traitements différents (afin d’obtenir une représentativité générale des varroas parfois déjà résistants à un traitement).
  • On écrase grossièrement les varroas dans le flacon avec une spatule neuve en bois neutre ou en plastic (*).
  • Au moyen de la seringue, on ajoute la quantité de mélange glycérine-alcool éthylique-eau pour faire à peu près une macération à 1 % des varroas (ici, 2 ml).

On secoue énergiquement une vingtaine de fois en frappant le fond du flacon bouché sur la paume de la main puis on laisse reposer une heure.

1ère Remarque : Il ne faut pas se préoccuper de la quantité réelle de substance active qui va se dissoudre (critère de solubilité). Ce qui compte c’est l’activation du solvant (eau) par la substance active (mémoire de l’eau).

Préparation des dynamisations jusqu’à la 200 K :
La préparation des dynamisations proprement dites va pouvoir commencer.
  • On verse 4 gouttes (= ~ 0,1 ml) du surnageant du macérat dans le tube en plastic jaugé à 10 ml (le reste du macérat de varroas de départ sera soigneusement conservé).
  • On amène au trait de jauge (10 ml) avec de l’eau pure, on place le bouchon et on secoue en frappant quelques fois énergiquement le culot du tube sur la paume de la main.
  • On obtient ainsi la 2ème centésimale korsakovienne (2 K).

2ème Remarque : Si au cours d’une dilution, on dépasse de temps à autres, légèrement le trait de jauge avec un excès d’eau pure, il faut continuer sans s’en préoccuper. En fin de parcours, cette erreur est infime. Ce qui compte c’est le nombre de dynamisations successives (nombre de passages d’une dilution à l’autre).

  • On retourne le tube pour en évacuer le contenu que l’on jette (on constate qu’il subsiste quelques gouttes sur les parois du flacon ; celles-ci vont servir de base à la dilution suivante). Ne pas maintenir le tube orifice en bas pendant trop longtemps; il doit subsister quelques gouttes collées à la paroi!
  • On remplit à nouveau le tube jusqu’au trait de jauge avec de l’eau pure ; on place le bouchon, on secoue. On obtient ainsi la 3 K. On vide le tube.
  • On remplit à nouveau le tube jusqu’au trait de jauge avec de l’eau pure ; on place le bouchon, on secoue. On obtient ainsi la 4 K. On vide le tube.
  • On répète la même manipulation jusqu’à la 196 K.

N.B. Afin d’éviter toute erreur de comptage, entre chaque dynamisation on inscrit un petit trait sur une feuille de papier. Toutes les 10 dynamisations, on appose un trait plus long. Ces traits vont servir de repères en cas d’interruption ou de moment d’inattention.

  • On récupère cette dynamisation 196 K dans un flacon de 10 ml.
  • On prélève 4 gouttes (=~ 0,1 ml) de solution 196 K que l’on verse dans un autre flacon rigoureusement propre de 10ml.
  • On y ajoute environ 10 ml d’éthanol non dénaturé à 20°. On secoue et on obtient un compromis entre une 196 K et une 197 K. Néanmoins, on va considérer cette solution comme une 197 K.
  • Cette solution sera correctement étiquetée (nom de la substance de base et dynamisation 197 K) et soigneusement conservée comme solution stock.
  • En effet, à partir de cette dynamisation 197 K, on va pouvoir préparer de beaucoup plus grandes quantités de 199 K et de 200 K.

On prépare de la même façon la dynamisation 199 K à partir de la 198 K. cette solution sera également étiquetée et conservée comme solution stock.
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(*) Dans les laboratoires homéopathiques, pour les substances insolubles, on procède d’abord par triturations successives à 1 % dans du lactose, jusqu’à la 3 CH (3ème centésimale hahnemanienne), mais l’expérience personnelle tant en médecine vétérinaire qu’en agriculture, nous a montré que la technique que nous décrivons ici, fonctionne parfaitement.
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  • On arrive enfin à la dynamisation 200 K que l’on prépare de la même manière en versant 4 gouttes de solution 199 K dans un flacon neuf, propre et sec de 10 ml. On y ajoute 10 ml d’alcool à 20° et on secoue.

Evaluation du temps nécessaire à la préparation manuelle ainsi décrite d’une 200 K
Lorsqu’on dispose du matériel décrit, à portée de main, la préparation manuelle d’une 200 K à partir de la solution de départ (à 1 %) requiert entre 1 heure et 1 heure 30, selon l’habileté manuelle de l’opérateur.

Conservation des dynamisations korsakoviennes
Toutes les dynamisations homéopathiques doivent être conservées à l’abri des rayonnements électromagnétiques tels entre autres ceux émis par les réseaux électriques (50/60 Hz), par les téléphones mobiles et les antennes relais, les émetteurs à ondes courtes, les postes de télévision, les ordinateurs cathodiques, les fours à micro-ondes etc.

Ces rayonnements lorsqu’ils sont trop intenses peuvent imprégner les dynamisations et se substituer à leur information électromagnétique propre. Pour éviter ces risques, on enveloppe les flacons stock (197 K, 198K, 199 K, 200 K) dans une feuille d’aluminium à usage ménager (face brillante à l’extérieur) que l’on trouve dans les grandes surfaces.

Administration de la dynamisation

Le traitement le plus aisé consiste à incorporer l’isothérapique de Varroas en 200 K au sirop de nourrissement en fin de saison : 2 ml d’isothérapique 200 K pour 2 litres de sirop froid (bien homogénéiser).
Mais, comme nous l’avons signalé au début de cet article, nous allons en même temps faire appel à deux autres techniques alternatives agissant dans le même sens.

La phytothérapie avec de l’herbe de thym (thymus vulgaris).

On sait depuis toujours que les abeilles adorent butiner les fleurs de thym; de plus, on sait depuis plusieurs années que le thymol (principe actif de la plante de thym) exerce une action répulsive sur les varroas jacobsoni.

A ce point du parcours, faisons appel à notre raisonnement: si nos abeilles consomment des infusions de thym, leur corps entier va exsuder des résidus de thymol (très volatil) et les varroas qui ont ce thymol en horreur ne vont absolument pas désirer se fixer sur les abeilles pour les parasiter.

Nous allons donc ajouter à notre première arme stimulant l’immunité, une deuxième arme naturelle plutôt alimentaire : le thym.
isothérapieNous conseillons suite à notre expérience personnelle de préparer un sirop à chaud à base de thym non radioactif (*) (thym espagnol, marocain ou turc) :

  • 200 g de thymus vulgaris mondé pour 10 litres de sirop à chaud.
  • Au moyen d’une cuiller en bois, on agite le thym mondé dans le sirop de sucre chaud pendant 15 minutes (infusion), sans faire bouillir.
  • On filtre et on laisse refroidir.
  • Ce sera le sirop de base de nourrissement pour l’hiver.
L’oligothérapie avec le cuivre, le zinc, le cobalt et le manganèse en traces

Mon expérience en médecine vétérinaire, souvent puisée dans des documents de l’I.N.R.A. (France) m’a montré qu’en général l’ajout en traces de Cuivre, de Zinc, de Cobalt, de Manganèse assimilables, dans la ration alimentaire des animaux, permet de stimuler l’auto-défense (donc la résistance aux microbes, aux virus, aux parasites) tout en élevant les capacités reproductrices (réactivation du système endocrinien).
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(*) La plupart des thyms européens (les espagnols et les turcs exceptés) sont toujours radioactifs depuis l’accident de Tchernobyl (plus de 2000 Becquerels/kg) et les abeilles en refusent les infusions.
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Nous ajouterons donc également au contenu de chaque nourrisseur 2 ml d’oligo-éléments Manganèse-Cobalt et 2 ml d’oligo-éléments Zinc-Cuivre (**) pour 2 litres de sirop au thym.

 

isothérapieEn résumé, nous allons donc nourrir les abeilles pour l’hiver avec un sirop de sucre préparé avec du thym comme indiqué ci-dessus et nous ajoutons à chaque contenu de nourrisseur de 2 litres :

  • 2 ml d’isothérapique de Varroa Jacobsoni en 200 K,
  • 2 ml d’oligo-éléments Manganèse-Cobalt
  • 2 ml d’Oligo-éléments Zinc-Cuivre.

Conclusions : Nous avons décidé de transmettre ces connaissances concernant l’isothérapie, issues de 20 ans d’expérience à la fois personnelle et collective, afin qu’elles ne se perdent pas. Ces techniques s’appliquent à peu de frais (juste un peu de temps).

Nous vivons une époque où les multinationales (industrie chimique, industrie agro-alimentaire etc.), tentent de rendre les populations totalement dépendantes de leurs produits et de leurs pratiques (O.G.M., pesticides, additifs alimentaires).

Les politiques, censés, dans des pays dits démocratiques, représenter l’intérêt des populations qui les ont élus, n’entendent plus la voix de leurs concitoyens (même chez certains de ceux qui se prévalent de la couleur verte) et perdent leur âme dans des magouilles financières et des trafics d’influences avec les lobbies industriels.

Leur raisonnement à court terme, établi uniquement sur une vision financière leur fait oublier que leur propre descendance n’échappera pas à cette espèce de destruction collective du tissu socio-économique dont nous commençons à ressentir les effets aujourd’hui.

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(**) Ne pas utiliser des sels comme des chlorures ou des acétates de ces métaux, comme cela se pratique en général à tort en élevage. Ces sels ne sont que très partiellement assimilables. Il suffit d’acheter ces oligo-éléments en pharmacie (usage humain). Leurs sels sont des gluconates, parfaitement assimilables et leur concentration est optimale. Les marques sont : Labcatal (ampoules 2ml) en France et Biogam (30 ml) en Belgique.
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Jean-Marie Dance
Licencié ès Sciences Chimiques, Ex Assistant à l’Université de Liège (Institut de Pharmacie), Consultant en Biophysique.
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