Le Dien Chan

Réflexologie faciale

Le Dien Chan est une technique thérapeutique simple qui est pratiquée
en sessions de courte durée, pendant lesquelles on atteint de façon quasi immédiate,
un soulagement des douleurs aiguës.

Terminologie et définitions du Dien Chan

dien chanEn 1980, le Pr Bùi Quôc Châu met au point cette méthode et lui donne le nom de Dien Cham, car il utilisait encore les aiguilles d’acupuncture, or Cham signifie « piquer avec une aiguille » en vietnamien.

En 1981, le nom Dien Chan, qui signifie « soins et diagnostic facial », apparaît dans le journal Saïgon Giaiphong. II est à noter que le terme est accolé au nom Dien Cham (Dien Chan-Dien Cham).

En 1982, le nom Dien Chan Diêu Khiên Liêu Phap apparaît dans le journal Tuoi Tre et signifie « soins, diagnostic facial et thérapie cybernétique ». C’est à partir de ce moment que le terme Dien Chan commence à être utilisé dans le langage courant.

En 1985, le nom Face Diagnosis and Cybernetic Therapy apparaît dans le journal acupuncture Américain.

dien chanEn 1988, la technique arrive à Cuba et elle est appelée Terapia Cibernetica par les médecins cubains.

En 1992, En France, le nom de Facythérapie (issu de Face diagnosis and Cybernetic Therapy) apparaît dans le magazine français Energie-Santé.

En 2001, En Espagne, apparaît sous les termes espagnols de Terapia facial cibernetica et Reflexologia facial étaient utilisés.

Le club BQC est créé, mais est une structure indépendante du Pr Châu.

En Allemagne, c’est l’appellation Vinamassage (massages vietnamiens) qui est fréquemment rencontrée.

En 2005, en France, on parle de « Réflexologie Bùi Quôc Châu », d’autres de « Réflexologie faciale ».

En 2006, apparaît le terme « Dien Chan » ou « Multiréflexologie », pour devenir en 2007 le « Dien Chan, méthode multiréflexologique ».

À présent, on appelle cette méthode vietnamienne, le « Dien Chan, multiréflexologie BQC© » en référence à son fondateur.

Rappel sur le Dien Chan

Le Dien Chan est une méthode d’accompagnement de la douleur ou des troubles organiques sans prise inconsidérée de médicaments, qui lie la logique scientifique et la rationalité occidentale aux courants philosophique orientaux.

Le Dien Chan offre d’excellents résultats dans le traitement de troubles neurologiques, dermatologiques, digestifs, circulatoires, génito-urinaires, rhumatologiques, métabolique. Il traite également les problèmes musculaires, les crampes, les lumbagos ainsi que les maux de tête, les insomnies et les dépressions nerveuses.

C’est une méthode complémentaire qui se révèle être efficace et rapide dans de nombreux cas. Le Dien Chan est une méthode simple et fiable.

L’influence de la médecine orientale – Le yin & le yang en Dien Chan

Avant de commencer un traitement, il faut interroger le patient et ainsi obtenir suffisamment de renseignements qui nous aideront à choisir un outil yin ou un outil yang. Les commentaires du consultant sur les sensations que lui provoque le trouble peuvent nous indiquer s’il s’agit d’une pathologie yin ou yang.

Si le consultant ressent de la chaleur à l’intérieur du corps, nous pourrons opter pour un outil yin. De même si la douleur perçue et très concentrée et précise, nous utiliserons un outil yin pour la disperser.

Au contraire, un patient qui se plaint de douleurs sourdes, ou de froid intérieur, nous indique que nous devons essayer en premier un outil yang. Dans le cas où nous n’obtenons pas la réponse attendue, nous devons être flexibles et opter pour un autre outil thérapeutique.

Ce qui est réellement important et de rester à l’écoute du consultant, de l’interroger sur ses sensations entre chaque stimulation et de combiner de façon souple l’ensemble des principes, des outils et des techniques de stimulation que nous propose le Dien Chan.

Le thérapeute doit essayer d’appliquer le principe du yin et du yang au trouble en particulier, il faut être capable de déterminer si le consultant subit un trouble plutôt yin pour utiliser un outil yang ou vice-versa. L’objectif étant la recherche de l’équilibre.

Le Yin et le yang en Dien Chan

Dans le Dien Chan, on peut voir que :
  • dien chanLa droite du visage appartient au yang.
  • La gauche du visage appartient au yin. Mais la projection du Taiji dans le dos nous donne l’inverse.
  • La droite du dos appartient au yin et la gauche du dos appartient au yang.
  • Le haut appartient au yang, le bas au yin.
  • Un mouvement descendant appartient au yin.
  • Un mouvement ascendant appartient au yang.
  • Un mouvement de gauche à droite appartient au yang.
  • Un mouvement de droite à gauche appartient au yin.
  • Le mouvement de l’intérieur vers l’extérieur appartient au yin.
  • Le mouvement de l’extérieur vers l’intérieur appartient au yang.
  • La verticalité appartient au yang.
  • L’horizontalité appartient au yin.
  • Yin et yang sont symétriques par rapport à un axe ou un centre neutre.
  • Yin et yang sont complémentaires et en même temps opposés.
  • Yin et yang sont toujours en coexistence.
  • Yin contient yang et vice-versa.
  • La transformation yin-yang évolue avec le temps et l’espace.
  • La concentration du yang dissipe le yin et vice-versa.
  • L’isolement du yang le rend stérile, ainsi que celle du yin.

Définition des termes utilisés dans le Dien Chan

L’observation faciale
C’est une méthode d’identification de signes sur le visage en utilisant différentes techniques d’observation. On peut chercher un point ou une zone douloureuse à l’aide d’un détecteur, toucher la peau afin d’en apprécier la texture et observer des signes, marques ou taches qui permettent d’identifier si possible les origines ou causes de l’affection. D’après les expériences cliniques du Professeur, les pathologies dont nous souffrons ou avons souffert peuvent s’exprimer sur le visage.

C’est en détectant les points vivants et projetant les différents schémas de réflexion du Dien Chan que nous pouvons avancer une hypothèse sur les causes de l’affection et planifier un protocole de soin.

Les points BQC
dien chanCe sont les points fixes sur le visage dont le professeur a découvert la position et avec lesquels il a établi une carte prenant comme repère les reliefs du visage. La carte des « points BQC » propose des lignes verticales et horizontales qui donnent des coordonnées précises.

Ces « points BQC » sont utilisés dans de nombreuses formules de traitement. Au départ de ses recherches, le Pr leur donna des noms en Vietnamiens, mais ensuite par commodité il a opté pour les numéroter.

Si certains numéros n’existent pas c’est parce qu’ils ont été remplacés par d’autres beaucoup plus efficaces.
Chacune de ces lignes s’appuie sur l’anatomie commune à tous les visages. Par exemple, les lignes verticales « G » passent par le centre des pupilles, comme les lignes verticales « B » qui passent par le centre de l’orifice de la narine indépendamment de la taille du nez. Les lignes « H » et « E » sont les tangentes verticales extérieure et intérieure de l’iris. Les lignes verticales « D » et « K » s’appuient sur les commissures des yeux comme la ligne horizontale « 5 ». La ligne horizontale « 2 » partage le front en deux parties et les lignes horizontales « 1 » et « 3 » divisent à leur tour ces moitiés en deux quarts. La ligne horizontale « 6 » passe par le sommet de l’os du nez (point BQC 189) ainsi que la ligne horizontale « 7 » qui s’appuie sur le point BQC n°1. La ligne horizontale « 9 » passe par le point BQC 63, qui se situe au centre du filtrum (rainure verticale dans la partie médiane de la lèvre supérieure). La ligne horizontale « 11 » passe légèrement au-dessus du point BQC 127 qui se situe au centre de la petite ride du menton quand la ligne horizontale « 12 » partage en deux le relief du menton en passant par le point BQC 87.

L’apprentissage de la lecture de la carte des points BQC est important afin de pouvoir appliquer correctement les différentes formules de soins proposées. Le débutant doit se guider à l’aide de la carte et projeter les coordonnées sur le visage en s’appuyant sur les reliefs repérés de chaque ligne.
Les lignes horizontales doivent s’imaginer comme la surface de l’eau dans laquelle serait submergée la tête du patient ; elles s’adaptent au relief du visage. Sauf la ligne horizontale « 0 » qui suit la racine des cheveux.

Les points vivants
Ce sont les points sensibles/douloureux trouvés à l’aide du détecteur ou des autres outils à disposition. Ces « points vivants » peuvent se trouver sur l’ensemble du corps et du visage. Parfois ces points peuvent être confondus avec les « points BQC ». La stimulation de ces points vivants nous permet de traiter car ils sont souvent associés à un schéma de réflexion et activent l’oméostasie de l’organe correspondant.

Les schémas de réflexion
Ce sont des représentations systématisées et précises de l’anatomie du corps, reflétées sur le visage et sur les différentes parties du corps. Le Dien Chan est multiréflexologique car il propose un grand nombre de schémas et non pas un seul, comme les autres techniques de réflexologie connues jusqu’à aujourd’hui. Cette multitude de schémas nous permet alors de chercher la stimulation la plus appropriée afin de traiter le trouble.

Les formules de traitements
Ce sont des combinaisons de points BQC établies sur la base de recherches et d’expériences cliniques du Pr Châu. en se servant de ses connaissances en médecine orientale et occidentale, le thérapeute pourra alors construire ses propres formules.

Par exemple, la formule de points composée par le 19 et 37 qui régule l’hyperactivité de la vessie s’explique de la façon suivante : le point 19 correspond au système sympathique et le point 37 correspond à la rate. Ce dernier représente l’élément terre en médecine orientale, or la terre absorbe l’eau et peut donc réduire l’activité de la vessie. Toutes les formules de points sont spécifiques à une affection en particulier.

Conseils et soins en Dien Chan

Les principaux conseils pour traiter un patient ou se soigner soi-même avec les outils de Dien Chan
dien chanTout le monde peut utiliser le Dien Chan sur lui-même à des fins thérapeutiques. Il est conseillé de suivre un stage d’initiation pour pouvoir acquérir les bons gestes pour se soigner soi-même, pour soulager ses douleurs et améliorer sa qualité de vie et celle de ses proches.

Pour le thérapeute, l’étude et la connaissance de tous les différents schémas de réflexion du Dien Chan permettent d’ avoir plusieurs possibilités pour obtenir l’effet désiré.
Il est évident qu’une certaine connaissance dans le domaine de la médecine occidentale et orientale, ainsi que la localisation des principaux points BQC sur le visage est nécessaire pour utiliser au mieux le Dien Chan.

Le thérapeute doit être en mesure de visualiser tous les schémas, ainsi que les points BQC et savoir les combiner avec les bases de la médecine occidentale et orientale.
Un dialogue permanent avec le patient ainsi que l’observation de celui-ci et de son visage lors du traitement, sont indispensables. Un thérapeute doit savoir mettre un protocole de soin en place rapidement par rapport au déséquilibre constaté.

Comment lire et utiliser un schéma ?
Exemple sur le premier schéma de réflexion

Le schéma de réflexion nº1 des extrémités sur le visage.
Commençons par observer le corps rouge seulement. Ce dessin représente en fait deux schémas de réflexion sur le visage. Un homme rouge et une femme bleue. L’appartenance sexuée n’est pas prise en compte dans les schémas du Dien Chan qui sont asexués ! Cela n’est qu’une représentation symbolique du yin (femme bleue) et du yang (homme rouge).

Le schéma du bonhomme rouge est le schéma yang des extrémités sur le visage :
Il représente un personnage plaqué sur le visage et de dos.
La zone réflexe de la nuque et des cervicales se situe entre les sourcils.
dien chanLe long des sourcils, les bras et sur les tempes les poignets.
Tout le long du nez la colonne vertébrale avec sur les ailes du nez les fesses et les hanches.
Le long du rictus, les jambes.
Au niveau des fossettes des joues, les genoux, et au centre sous la bouche, les talons.

Comment utiliser les outils
Les outils auront un effet Yin ou yang, suivant le type d’outil choisi, la dynamique de leur utilisation et la pression de la stimulation.

Exemple d’utilisation du détecteur

dien chanLe détecteur est l’outil de base qui nous permet de trouver et stimuler les points vivants et les points fixes BQC. Il ne faut pas perdre de vue, que malgré la précision des coordonnées des points BQC sur le visage, un léger écart est inévitable surtout sur des zones telles que le contour de la bouche et du menton. Dans ce cas le thérapeute pourra utiliser un outil plus approprié.

Afin d’utiliser correctement les détecteurs il est important de souligner certaines particularités de la technique de ces outils.
Pour détecter un point BQC il faut rechercher la zone donnée par les coordonnées du point BQC. Ne pas essayer d’arriver directement sur le point mais glisser doucement vers lui sans faire mal mais en exerçant une légère pression. En arrivant sur le point, questionner le patient, se guider à ses grimaces et lui demander si vous êtes bien dessus. Une fois le point trouvé, le stimuler 30 secondes soit par de petits mouvements soit par une pression soutenue. Le détecteur doit rester perpendiculaire à la surface du point traité. Si vous stimuliez un point BQC précis pour soulager une douleur, questionnez le patient immédiatement afin de vérifier votre traitement. Le patient sait mieux que vous si cela lui fait encore mal ou pas ! Si vous n’obtenez pas de résultat c’est qu’il faut changer de technique en utilisant un autre outil. Si votre patient a une peau beaucoup trop sensible et fine il est conseillé d’utiliser une des techniques de stimulations adaptées avec une pression moins soutenue. Le choix d’un outil plus adapté comme le grand détecteur qui est moins fin que les autres, peut être une option.

Il faut toujours vérifier par un dialogue permanent avec le patient, que la pression exercée sur la peau ne soit pas déteriorante et surtout contrôler en permanence que ce n’est pas la pression du détecteur qui provoque la douleur mais bien le point vivant ou le point BQC.

Parfois certains points provoquent une coulée de larmes, d’autres donnent la sensation d’une aiguille. Après avoir trouvé le point par glissement et avant de le stimuler, vérifiez votre diagnostic en retirant le détecteur puis en re-appuyant sur le point trouvé. Les grimaces et paroles du patient vous confirmeront que vous êtes sur le point BQC recherché.

La théorie du relativisme dynamique du Dien Chan
Le mot Tuy exprime à lui seul, de manière simple et courte, la théorie du relativisme dynamique du Dien Chan.
On peut traduire ce mot par « ça dépend », « selon les cas », ce qui incite donc le praticien à s’adapter à chaque fois qu’il est nécessaire. De ce fait, il n’existe pas d’outils parfaits en Dien Chan. Il n’existe que des outils qui s’adaptent le mieux au constat du déséquilibre.
Ainsi, toutes les formules de traitement, tous les schémas et les points BQC ne sont pas immuables et permanents.

dien chanDe la même façon, aucune méthode thérapeutique n’est parfaite ni une panacée. Il n’y a pas d’absolu mais seulement des adaptations possibles pour chaque cas, à chaque stade de la maladie et selon l’état de santé de la personne.

Le thérapeute en Dien Chan doit se baser sur cette théorie pour choisir le traitement et les outils qui seront adaptés à chaque cas. Ceci donne une multitude de possibilités de traitements, telles les multiples facettes d’un kaléidoscope qui sont les reflets de chacune d’entre elle et dans lequel un changement en entraîne un autre.

La raison et la vérité ne sont jamais figées et évoluent constamment dans le temps et l’espace. C’est pourquoi il faut se libérer complètement de toute obstination, d’habitudes et de préjugés, qui nous empêchent d’atteindre de bons résultats.

Il existe beaucoup de solutions pour résoudre un même problème, de nombreuses formules pour traiter une personne. La valeur d’une chose dépend de ses interrelations avec son environnement.
Ainsi, l’image, qui explique qu’une heure passée en compagnie de son amoureux est tellement plus courte qu’une minute, assis sur un brasier, illustre bien la théorie de la relativité d’Einstein. Un outil adapté à une personne n’est pas forcément bon pour une autre. Ce même outil peut effectivement être bon le jour même et ne pas convenir le jour suivant. C’est également valable pour les points et les schémas de réflexion dont l’efficacité peut changer d’un jour à l’autre.

Le massage du matin : une technique simple pour rééquilibrer son organisme

Les 12 gestes à faire à chaque réveil (avant le saut du lit) :
  1. Les yeux – Se frotter les mains et appliquer les paumes sans appuyer sur les yeux (répéter plusieurs fois).
    Éclairci la vue/Revitalise les organes génitaux.
  2. Les yeux – Faire le massage autour des yeux avec le majeur et l’index. Idem pianoter avec les doigts autour des yeux.
    Éclairci la vue/Revitalise les organes génitaux.
  3. Le visage – les deux mains sur le visage, lisser en montant vers le front, puis en redescendant par les tempes, le côté du menton, rejoindre le milieu du menton et remonter jusqu’au front.
    Réchauffe le corps.
  4. La bouche – Se frotter la bouche avec la main droite, puis la main gauche.
    Réchauffe le corps et masse tous les organes internes.
  5. Le nez – Lisser le nez avec le majeur et l’index, en partant du bout du nez (point 173) et remonter jusqu’au front (point 126) en finissant avec la paume de la main, faire avec la main droite, puis la main gauche.
    Massage de la colonne vertébrale.
  6. Le front – Frotter le front avec la main droite, puis la main gauche.
    Massage de la colonne vertébrale et des organes interne.
  7. Le crâne – Se lisser la tête avec les ongles en passant dans les cheveux du front à la nuque.
    Lutte contre l’allopécie et l’insomnie.
  8. Les oreilles – Lisser de bas en haut autour de la base de l’oreille entre l’index et le majeur.
    ORL, dos, yeux, et régule la tension et réchauffe le corps.
  9. Les oreilles – Frictionner le pavillon de l’oreille entre le pouce et l’index.
    ORL, dos, yeux, et régule la tension et réchauffe le corps.
  10. Les oreilles – Poser les paumes sur l’oreille et tapoter avec les doigts tendus sur le derrière de l’oreille.
    Massage de l’appareil auditif et de l’oreille interne.
  11. Le cou – Masser le derrière de la nuque avec la main droite et la main gauche.
    Donne du courage, réenergisant et assouplit la nuque.
  12. La nuque – Lisser alternativement avec les deux mains la gorge du menton vers la base du cou. Saliver en claquant des dents, passer la langue sur les dents et déglutiner la salive petit à petit. Ce massage est le seul en Yin des 12.
    Humecte la gorge et prépare l’estomac.
Alain Barouillet
Formateur agréé Dien Chan
Tél : 07 68 26 60 78

Reflexologie Faciale Dien Chan

DIEN CHAN - 12 massages du matin

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